Crazed Women (The Bakkhai)
De la centaine de pièces qu'Euripide a écrites de son vivant, seules dix-neuf subsistent. Toutes n'ont pas remporté le premier prix des festivals, mais BAKKHAI l'a fait.
« Dès le départ, il est essentiel de comprendre que dans le théâtre grec, comme d'ailleurs dans le théâtre shakespearien, le moi qui est réellement en jeu est celui de l'homme, tandis que la femme se voit attribuer le rôle de l'autre radical. -Froma I Zeitlin « D'une beauté enivrante, froidement sordide, tantôt déroutant, tantôt nous faisant vibrer avec le charme mystique des bois et des collines, ce drame est unique parmi les œuvres d'Euripide ». -Gilbert Norwood « ...
une parodie tragique d'un thème comique, comme c'est le cas dans LE BACCHAE (LE BAKKHAI), est vraiment gênante, et de surcroît rare avant notre époque et le grand usage qu'en a fait Samuel Beckett... LE BACCHAE montre clairement que certaines utilisations de la comédie ne diminuent pas la tragédie ou ne la 'soulagent' pas, mais l'augmentent en fait ».
-Donald Sutherland : « L'influence la plus évidente de BAKKHAI d'Euripide sur la mythologie chrétienne réside dans son concept de Dionysos en tant que Fils de Dieu souffrant. -Arthur Evans « Euripide apparaît parfois comme un homme religieux, et parfois comme un charlatan. Bien sûr, il n'était ni l'un ni l'autre.
C'était un dramaturge. -John Jay Chapman.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)