Note :
Les critiques soulignent les forces et les faiblesses de l'édition de « Nicomachean Ethics » traduite par H. Rackham. De nombreux lecteurs apprécient la clarté de la traduction et le format bilingue, qui facilite l'apprentissage. La qualité matérielle du livre a fait l'objet de commentaires mitigés, certains faisant l'éloge de la reliure, d'autres lui reprochant d'être mal faite ou difficile à manipuler en raison de l'étroitesse des pages. Dans l'ensemble, les avis sont partagés sur le contenu philosophique, certains le trouvant essentiel et éclairant, tandis que d'autres le jugent surestimé par rapport à d'autres textes philosophiques.
Avantages:⬤ Traduction claire et utile de H. Rackham.
⬤ Le format bilingue (grec et anglais) améliore la compréhension.
⬤ La qualité du matériel est louée pour sa belle reliure et sa couverture rigide.
⬤ Considéré comme une ressource fantastique pour comprendre la philosophie occidentale et les concepts importants de l'éthique.
⬤ Très apprécié pour ses idées philosophiques et sa pertinence pour la vie moderne.
⬤ Quelques plaintes concernant la mauvaise qualité de la reliure des nouvelles éditions.
⬤ Les pages minces sont susceptibles d'être endommagées.
⬤ Certains critiques estiment que le contenu philosophique est surestimé ou inférieur à d'autres ouvrages.
⬤ La confusion provient de traductions de qualité inégale et de problèmes d'impression dans les éditions récentes.
(basé sur 23 avis de lecteurs)
Nicomachean Ethics
Aristote, grand philosophe, chercheur, raisonneur et écrivain grec, né à Stagirus en 384 avant notre ère, est le fils de Nicomaque, médecin, et de Phaestis. Il étudie sous la direction de Platon à Athènes et y enseigne (367-47)
Il passe ensuite trois ans à la cour d'un ancien élève, Herméias, en Asie Mineure, et épouse à cette époque Pythias, l'une des relations d'Herméias. Après un séjour à Mitylène, il est nommé en 343-32 par le roi Philippe de Macédoine précepteur de son fils Alexandre, alors adolescent. Après la mort de Philippe en 336, Aristote prend la tête de sa propre école (les "péripatéticiens"), le Lycée d'Athènes. En raison du sentiment anti-macédonien après la mort d'Alexandre en 323, il se retire à Chalcis en Eubée, où il meurt en 322. Presque tous les ouvrages qu'Aristote a préparés pour la publication sont perdus.
Les ouvrages inestimables qui subsistent sont des documents de cours, des notes et des mémorandums (dont certains sont falsifiés). On peut les classer comme suit : I. Pratique : Éthique à Nicomaque.
Grande éthique ( Magna Moralia )
Éthique eudémienne.
Politique.
Oeconomica (sur le bien de la famille)
Vertus et vices.
II. Logique : Catégories.
De l'interprétation.
L'analytique (antérieure et postérieure)
Réfutations sophistiques.
Topica.
III. Physique : Vingt-six œuvres (certaines suspectes) comprenant l'astronomie, la génération et la destruction, les sens, la mémoire, le sommeil, les rêves, la vie, les faits concernant les animaux, etc.
IV. Métaphysique : sur l'être en tant qu'être.
V. L'art : Art de la rhétorique et de la poétique.
VI. Autres ouvrages, dont la Constitution athénienne.
D'autres œuvres dont la paternité est également douteuse.
VII. Fragments de divers ouvrages tels que des dialogues sur la philosophie et la littérature.
Et des traités de rhétorique, de politique et de métaphysique. L'édition d'Aristote de la Loeb Classical Library(R) comprend vingt-trois volumes.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)