Note :
Ce livre est une exploration profonde de l'identité personnelle, de la communication et de la nature fluide du soi à travers un prisme philosophique et psychologique. Il suscite des réflexions sur la perception de soi et sur la façon dont les autres nous perçoivent, incarnant une riche tapisserie d'idées qui résonnent chez les lecteurs longtemps après l'avoir terminée. Malgré quelques inquiétudes, de nombreux lecteurs ont trouvé ce livre à la fois captivant et stimulant.
Avantages:⬤ Bien écrit avec une compréhension claire de l'identité personnelle
⬤ engageant et stimulant
⬤ les idées restent dans la tête du lecteur
⬤ humoristique mais profond
⬤ grande qualité du produit
⬤ excellent pour l'auto-réflexion
⬤ fortement recommandé par plusieurs lecteurs.
⬤ Certains exemplaires sont en mauvais état physique
⬤ certains lecteurs le trouvent répétitif
⬤ il n'est pas facile à lire et peut nécessiter une attention particulière
⬤ tous ne s'accordent pas sur sa grandeur, avec des opinions variées sur sa profondeur.
(basé sur 31 avis de lecteurs)
One, No One, and One Hundred Thousand
Fiction.
Traduit de l'italien par William Weaver. L'extraordinaire dernier roman de Luigi Pirandello commence lorsque la femme de Vitangelo Moscarda remarque que le nez de Vitangelo penche vers la droite.
Cette interaction banale incite le narrateur du roman, riche et sans emploi, à s'interroger sur lui-même, sur la façon dont il perçoit les autres et sur la façon dont les autres le perçoivent. Au début, il ne remarque que de petites différences entre la façon dont il se perçoit et la façon dont les autres se perçoivent ; mais son examen de conscience devient rapidement implacable, vertigineux, menant à des résultats souvent sombrement comiques lorsque Vitangelo décide qu'il doit démolir cette version de lui-même que les autres voient. Pirandello a dit de son roman de 1926 qu'il traitait de la désintégration de la personnalité.
Il arrive aux conclusions les plus extrêmes, aux conséquences les plus lointaines. En effet, son humour déconcertant et sa dissection existentielle de l'identité moderne trouvent des équivalents dans la trilogie Molloy de Samuel Beckett et dans les œuvres de Thomas Bernhard et Vladimir Nabokov.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)