Note :
Les commentaires soulignent un mélange d'appréciation du contenu et de la structure de certaines éditions de Catulle, en particulier l'édition de la Loeb Classical Library, ainsi que de frustration concernant les erreurs d'étiquetage et la qualité d'autres éditions. De nombreux utilisateurs ont trouvé la poésie attrayante et le commentaire utile, en particulier pour ceux qui découvrent la littérature latine. Toutefois, certains acheteurs se sont dits déçus d'avoir reçu des éditions incorrectes ou des reproductions de mauvaise qualité.
Avantages:De nombreux lecteurs ont fait l'éloge de l'édition Loeb pour son format bilingue, ses commentaires détaillés et ses traductions révisées qui améliorent l'accessibilité, en particulier pour les lecteurs de latin inexpérimentés. Certains ont trouvé la poésie émotionnellement puissante et captivante, convenant à la fois aux étudiants et aux amateurs de poésie. La qualité physique des éditions (reliure et papier) a également été notée positivement.
Inconvénients:Plusieurs commentaires ont critiqué l'incohérence des éditions disponibles à l'achat, certains acheteurs ayant reçu des copies incorrectes ou mal reproduites, dépourvues de commentaires essentiels. Cette situation a créé de la confusion et de l'insatisfaction chez les lecteurs potentiels. D'autres ont exprimé le souhait d'avoir des explications plus complètes sur les lignes ou les contenus difficiles, ce qui indique que le commentaire pourrait être encore amélioré.
(basé sur 20 avis de lecteurs)
Catullus. Tibullus. Pervigilium Veneris
Catulle (Gaius Valerius, 84-54 av. J.-C.), originaire de Vérone, se rendit très tôt à Rome, où il fréquenta non seulement d'autres hommes de lettres de la Gaule cisalpine, mais aussi Cicéron et Hortensius. Les poèmes qui nous sont parvenus se composent d'une soixantaine de textes courts, de huit poèmes plus longs en différents mètres et d'une cinquantaine d'épigrammes. Ils témoignent tous d'une technique stricte de composition étudiée, héritée des premiers poètes lyriques grecs et des poètes d'Alexandrie. Son œuvre retrace son amour malheureux pour une femme qu'il appelle Lesbia.
La mort de son frère.
Ses visites en Bithynie.
Et ses amitiés et inimitiés à Rome. Les poèmes de Catulle n'ont pas de rival dans la littérature latine pour ce qui est de l'art poétique consommé et de l'intensité des sentiments.
Tibulle (Albius, vers 54-19 avant notre ère), de rang équestre et ami d'Horace, jouissait du patronage de Marcus Valerius Messalla Corvinus, qu'il apostrophe à plusieurs reprises. Trois livres d'élégies nous sont parvenus sous son nom, dont seuls les deux premiers sont authentiques. Le livre 1 proclame surtout son amour pour "Delia", le livre 2 sa passion pour "Némésis". Le troisième livre est un recueil de poèmes provenant des archives de Messalla.
Il est très douteux que l'un d'entre eux soit de la plume de Tibulle lui-même. Mais un groupe de poèmes qui concernent une jeune fille appelée Sulpicia présente un intérêt particulier : certains sont écrits par son amant Cerinthus, tandis que d'autres sont censés être de sa propre composition.
Le Pervigilium Veneris, un poème d'une centaine de vers célébrant une fête printanière en l'honneur de la déesse de l'amour, est remarquable à la fois par sa beauté et par la première note claire du romantisme qui a transformé la littérature classique en littérature médiévale. Les manuscrits ne donnent aucun indice sur son auteur, mais des études récentes ont permis d'attribuer ce poème au poète Tibérien du début du quatrième siècle.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)