Note :
Le livre « The Last Slave Ships » (Les derniers navires négriers) de John Harris explore la phase finale de la traite atlantique des esclaves, en se concentrant sur les activités illicites autour de New York, plaque tournante de la traite illégale des esclaves bien après qu'elle ait été interdite. L'ouvrage combine une recherche méticuleuse et une narration captivante pour révéler les complexités de la période, en mettant en lumière des histoires personnelles parallèlement à des récits historiques plus larges.
Avantages:⬤ Bien écrit et bien organisé
⬤ recherches méticuleuses
⬤ facile à lire même pour les non-historiens
⬤ offre un aperçu approfondi d'un domaine peu étudié de l'histoire
⬤ équilibre l'aperçu historique général avec des histoires personnelles
⬤ fournit des informations nouvelles et choquantes sur l'implication de New York et la complicité de l'Amérique dans le commerce des esclaves
⬤ suscite des émotions fortes et une réflexion profonde sur les vérités inconfortables de l'histoire.
⬤ Certains lecteurs ont trouvé certaines sections un peu arides
⬤ la profondeur des informations peut nécessiter du temps pour les assimiler
⬤ il ne s'agit pas d'une lecture rapide
⬤ certains peuvent se sentir mal à l'aise face aux dures vérités révélées.
(basé sur 29 avis de lecteurs)
The Last Slave Ships: New York and the End of the Middle Passage
Cet étonnant regard derrière le rideau sur les dernières années de la traite transatlantique illégale des esclaves aux États-Unis représente « une contribution importante à l'historiographie américaine de l'époque antebellum ».
« Un travail d'érudition remarquable » - Eric Herschthal, New Republic.
« Un aspect important - et peu connu - de l'histoire de la ville de New York et de la traite illégale des esclaves vers Cuba est mis au jour » - Erin Becker, Global Maritime History.
Longtemps après que la traite transatlantique des esclaves a été officiellement interdite au début du XIXe siècle par toutes les grandes nations pratiquant le commerce des esclaves, des marchands basés aux États-Unis continuaient d'envoyer des centaines de navires négriers illégaux depuis les ports américains vers les côtes africaines. Les principaux instigateurs de ce phénomène sont les marchands d'esclaves qui se sont installés à New York après l'arrêt du gigantesque commerce illégal d'esclaves vers le Brésil en 1850. Ces trafiquants étaient déterminés à faire de Lower Manhattan une plaque tournante du commerce illégal d'esclaves vers Cuba. Avec leurs alliés en Afrique et à Cuba, ils ont pris au piège quelque 200 000 hommes, femmes et enfants africains au cours des années 1850 et 1860. John Harris étudie comment le gouvernement américain est passé de l'ignorance, voire de la complicité, à la fermeture complète de ce commerce illégal en 1867.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)