Note :
Le livre sur l'histoire des Arawaks a reçu des critiques mitigées. De nombreux lecteurs apprécient sa valeur éducative et son style attrayant, estimant qu'il s'agit d'une bonne introduction au sujet. Cependant, plusieurs critiques lui reprochent d'être trop bref, de manquer de profondeur et de se concentrer excessivement sur les explorateurs européens plutôt que sur la culture arawak elle-même. L'absence de visuels et certains problèmes de production, tels que des pages manquantes, ont également nui à l'expérience de lecture pour certains.
Avantages:⬤ Bien écrit et éducatif
⬤ fournit des informations historiques importantes sur les Caraïbes et les Arawaks
⬤ facile à lire
⬤ instructif pour les débutants
⬤ adapté pour rafraîchir les connaissances
⬤ certains lecteurs l'ont trouvé captivant et révélateur.
⬤ Manque de profondeur et d'exhaustivité
⬤ certaines sections se concentrent trop sur l'histoire européenne plutôt que sur les perspectives arawak
⬤ seulement un petit livret
⬤ utilisation minimale de photos
⬤ rapports de pages manquantes et insatisfaction générale quant à l'étendue du livre.
(basé sur 30 avis de lecteurs)
The Arawak: The History and Legacy of the Indigenous Natives in South America and the Caribbean
*Inclut des photos.
*Comprend des récits contemporains.
*Comprend des ressources en ligne et une bibliographie pour des lectures complémentaires.
"Dès que je suis arrivé aux Indes, sur la première île que j'ai trouvée, j'ai pris de force quelques-uns des indigènes afin qu'ils apprennent et me renseignent sur tout ce qu'il y a dans ces régions". - Christophe Colomb.
Le 12 octobre 1492, l'un des "premiers contacts" les plus importants de l'ère moderne a été établi lorsque trois navires d'origine espagnole se sont approchés de l'archipel connu aujourd'hui sous le nom de Bahamas, jetant prudemment l'ancre tandis que le capitaine de la flotte contemplait ce qu'il supposait être la côte de l'Inde. Selon la version populaire de l'histoire, étonnés de voir des navires et des hommes d'apparence si peu familière, les autochtones de l'île plongèrent dans les eaux claires de l'Atlantique occidental, nageant habilement ou à bord de pirogues, et sortirent pour saluer les étrangers.
Selon toute probabilité, la rencontre a été beaucoup plus prudente et progressive, mais l'idée que ces innocents, élevés dans un éden tropical, puissent embrasser avec un tel enthousiasme leur propre destruction est pittoresque et plaît sans aucun doute aux perceptions contemporaines. Quelle que soit la manière dont on l'envisage, cette rencontre des cultures a certainement marqué le début d'un nouveau chapitre audacieux de l'histoire de l'Europe, et le début de la fin d'une ancienne race d'indigènes occupant un vaste nouveau continent.
Les entrées dans le journal de bord de Christophe Colomb, lorsqu'il a consigné ses premières rencontres avec les peuples indigènes des "Indes", sont très révélatrices. Les habitants de l'île sont arrivés à côté de ses navires, offrant d'humbles cadeaux que Christophe Colomb a décrits comme "des perroquets, des balles de coton, des lances et beaucoup d'autres choses, qu'ils ont échangées contre des perles de verre et des clochettes de faucon". Il s'agit des Ta nos, ou "Arawaks", comme on les appellera plus tard, que Colomb décrit comme "bien bâtis... avec un beau corps et de beaux traits".
Cette description, d'une simplicité trompeuse, a une implication effrayante, car Colomb ne prenait pas note de ces faits par intérêt futile, mais pour savoir comment les exploiter au mieux. Alors que les indigènes lui offraient des cadeaux, la main ouverte de l'amitié et, par voie de conséquence, la liberté de leurs îles, Colomb remarqua simplement leur apparence primitive et leur technologie primitive, et la facilité avec laquelle ils seraient vaincus. Il note : "Ils ne portent pas d'armes et ne les connaissent pas, car je leur ai montré une épée, ils l'ont prise par le tranchant et se sont tailladés par ignorance. Ils n'ont pas de fer. Leurs lances sont en roseau. Ils feraient de bons serviteurs. Avec cinquante hommes, nous pourrions les soumettre tous et leur faire faire tout ce que nous voulons".
Ce que Colomb voulait en premier lieu, c'était de l'or, et il a rapidement observé les petits bijoux en or portés par ses visiteurs, ce qui l'a immédiatement alerté sur le fait qu'il y avait de l'or à trouver quelque part sur ces îles. Pour en avoir le cœur net, Christophe Colomb ne va pas perdre de temps. C'est ainsi que s'enclenche une chaîne d'événements qui affectera durablement la civilisation occidentale.
Les Arawaks : L'histoire et l'héritage des indigènes d'Amérique du Sud et des Caraïbes examine la culture et l'histoire des groupes indigènes et ce qui s'est passé lorsqu'ils sont entrés en contact avec les Européens. Des photos de personnages, de lieux et d'événements importants vous permettront de découvrir les Arawaks comme jamais auparavant.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)