Note :
Les critiques de l'ouvrage mettent en évidence un mélange de contenu informatif sur les femmes Plantagenêt, en particulier les filles d'Aliénor d'Aquitaine, et de problèmes structurels et éditoriaux importants. Bien que les lecteurs aient apprécié les aperçus historiques, beaucoup ont critiqué le livre pour sa mauvaise organisation, sa répétitivité et sa difficulté à suivre. Le livre est considéré comme une ressource précieuse pour ceux qui sont déjà familiers avec le sujet, mais potentiellement accablant pour les nouveaux venus.
Avantages:Bien documenté et informatif sur les femmes Plantagenêt, il fournit des détails souvent négligés dans d'autres récits historiques, présente une perspective unique sur l'histoire médiévale et les figures féminines, et est loué pour son contenu passionnant.
Inconvénients:Répétitif et mal organisé, manque d'ordre chronologique, difficile à suivre par moments, et certains lecteurs ont eu l'impression qu'il était mal édité, avec des confusions sur les noms et les chronologies. On lui reproche également de contenir des informations facilement accessibles en ligne et de faire des affirmations douteuses.
(basé sur 14 avis de lecteurs)
Plantagenet Princes: The Sons of Eleanor of Aquitaine and Henry II
Lorsque le comte Henri d'Anjou et sa formidable épouse Aliénor d'Aquitaine sont devenus roi et reine d'Angleterre, ils ont amassé un empire s'étendant sur plus de 1 000 kilomètres, des Pyrénées à la frontière écossaise, en passant par la moitié de la France. La grand-mère d'Henri, l'impératrice Mathilde d'Allemagne, lui avait appris que gouverner, c'est comme faire de la fauconnerie : il faut montrer la récompense au faucon, mais la lui retirer au dernier moment, pour que l'oiseau continue à vouloir plaire. Aux fils comme aux vassaux, Henri promet tout mais ne donne rien, ce qui fait que les trois princes adultes le détesteront toute leur vie, lui et les autres membres de la fratrie.
Plantagenet Princes retrace la vie et les infâmes réseaux de méfiance et d'intrigues qui se sont tissés entre eux. Quels fils étaient-ils ? Henry (né en 1155), "le jeune roi", avait le droit de succéder à son père, mais c'était un riche playboy qui mourut criblé de dettes avant son trentième anniversaire, après avoir mené la vie d'un baron voleur. Richard (né en 1157), "Cœur de Lion", était seigneur du duché d'Aquitaine de sa mère et devint, grâce à elle, le roi le plus populaire d'Angleterre, bien qu'il ait ruiné l'Empire à deux reprises au cours de son règne désastreux de dix ans. Geoffrey (né en 1158), comte de Bretagne, était le plus intelligent, mais il fut piétiné à mort par des chevaux à l'âge de 32 ans lors d'un combat inutile à Paris, laissant sa femme Constance assurer la régence de leur fils Arthur dans une longue lutte pour le pouvoir entre Philippe Auguste, roi de France, et les Plantagenêts. L'avorton de la portée, John (né en 1166), fut surnommé Lackland, car aucun héritage ne lui avait été promis au départ. Il est de loin celui qui a vécu le plus longtemps, mourant à l'âge de cinquante ans après avoir signé la Magna Carta, perdu le duché clé de Normandie et la plupart des autres possessions continentales, assassiné son neveu Arthur, emprisonné à vie la sœur d'Arthur et mené une guerre contre ses barons, poursuivie par Henri III.
La lignée Plantagenêt se poursuit avec Richard de Cornouailles, Édouard Ier qui conquiert le Pays de Galles, Édouard II, Édouard III, Édouard le Prince Noir et Richard II, qui meurt en prison alors que son usurpateur s'assied sur le trône.
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)