Note :
Les critiques soulignent que ce livre est un volume de transition dans la série des Manteaux noirs de Paul Feval, en particulier en ce qui concerne le personnage de Saladin et l'exploration des classes criminelles dans le Paris du XIXe siècle. Le livre présente une écriture solide et des thèmes intéressants, mais souffre d'un manque de développement des personnages féminins et d'une narration trop dense.
Avantages:Une exploration intéressante des classes criminelles, une caractérisation particulièrement efficace de l'antagoniste Saladin, et une écriture solide dans certaines parties. Le livre offre des perspectives uniques et un point de vue différent par rapport aux récits typiques, notamment par sa sympathie pour les luttes des classes inférieures.
Inconvénients:Les personnages féminins sont sous-développés et souvent considérés comme des codes, ce qui nuit à l'histoire. Le récit semble surchargé et moins convaincant au fur et à mesure qu'il progresse, et le livre pourrait ne pas se tenir seul sans le contexte de la série.
(basé sur 2 avis de lecteurs)
The Black Coats: The Sword-Swallower
1866. Après la disparition de leur maître, le colonel Bozzo-Corona, quatorze ans plus tôt, les Tuniques Noires ne sont plus qu'un simulacre d'eux-mêmes.
Profitant de la situation, le jeune Saladin, surnommé « l'avaleur d'épées », fils de Similor, membre du gang, devenu le rusé marquis de Rosenthal, s'engouffre dans la brèche et devient le nouveau parrain. Son plan ambitieux pour redonner à l'empire criminel, autrefois puissant, sa gloire criminelle invicible consiste à voler la fortune de la jeune Justine, enlevée bébé et transformée en danseuse de corde sous le nom de Mademoiselle Saphir. Justine, en réalité la fille du riche Justin de Vibraye, est également convoitée par le diabolique Duc de Chaves, un adversaire mortel pour l'Avaleur d'Epée...
Troisième, mais chronologiquement dernier de la série, L'avaleur de sabres (1867) a été conçu par Paul Feval comme le dernier récit de la saga criminelle des Tuniques Noires. « Il s'agit d'une œuvre unique, qui gagnerait sans doute à être lue isolément, sans référence à ses compagnons », note Brian Stableford.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)