Note :
Les critiques de « The Hatred of Poetry » de Ben Lerner présentent un éventail d'opinions, soulignant son exploration perspicace des limites de la poésie, de la complexité des attentes des lecteurs et de la lutte des poètes pour atteindre la perfection dans leur art. Si beaucoup apprécient l'éloquence de Lerner et ses idées stimulantes, d'autres critiquent le livre pour son caractère décousu ou son incapacité à aborder les véritables raisons de l'impopularité de la poésie.
Avantages:⬤ L'écriture de Lerner est décrite comme éloquente, perspicace et stimulante
⬤ l'essai offre une perspective unique sur la nature de la poésie et ses échecs
⬤ de nombreux lecteurs le trouvent captivant, avec des aperçus utiles sur la poésie et les défis auxquels les poètes sont confrontés.
⬤ Certains critiques ont trouvé le livre décousu et non ciblé, s'estimant déçus qu'il manque de poésie réelle
⬤ il y a des critiques concernant l'approche théorique de l'auteur qui est déconnectée de l'expérience du lecteur moyen avec la poésie
⬤ quelques uns mentionnent que le livre n'apporte pas d'informations nouvelles sur le sujet.
(basé sur 53 avis de lecteurs)
The Hatred of Poetry
Aucun art n'a été dénoncé aussi souvent que la poésie.
Elle est même déplorée par les poètes : Moi aussi, je la déteste, a écrit Marianne Moore. Beaucoup plus de gens s'accordent à dire qu'ils détestent la poésie, écrit Ben Lerner, que de personnes capables de s'accorder sur ce qu'est la poésie.
Moi aussi, je n'aime pas la poésie et j'ai largement organisé ma vie autour d'elle, mais je ne le vis pas comme une contradiction, car la poésie et la haine de la poésie sont inextricables, d'une manière qu'il m'appartient d'explorer. Dans cet essai inventif et lucide, Lerner prend la haine de la poésie comme point de départ de sa défense de l'art. Il examine les plus grands détracteurs de la poésie (en commençant par la célèbre affirmation de Platon selon laquelle une cité idéale n'aurait pas de place pour les poètes, qui ne feraient que corrompre et tromper les jeunes) et ses plus grands et pires praticiens, en proposant des lectures approfondies et inspirées de Keats, Dickinson, McGonagall, Whitman et d'autres.
Tout au long de l'ouvrage, il tente d'expliquer le noble échec qui se trouve au cœur de chaque poème vraiment grand et vraiment horrible : l'impulsion de lancer l'expérience d'un individu dans une existence communautaire intemporelle. Dans The Hatred of Poetry, Lerner a conçu un examen divertissant, personnel et entièrement original d'une vocation qui n'est pas moins essentielle parce qu'elle est impossible.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)