Note :
Dans l'ensemble, le livre a reçu des critiques mitigées quant à son contenu et à sa qualité physique. Beaucoup ont loué ses théories intéressantes et stimulantes sur le corps en relation avec le genre, la race et le sexe, tandis que certains ont critiqué l'état physique du livre reçu.
Avantages:Contenu intéressant avec des aperçus théoriques profonds sur la phénoménologie corporelle et le rôle du corps dans le genre et la société. Les commentaires soulignent le bon état du livre à l'arrivée et la rapidité de la livraison par les vendeurs.
Inconvénients:Certains lecteurs ont trouvé que le livre était légèrement dépassé, et il y a eu des plaintes concernant la qualité physique du livre, avec des rapports de pages tombées peu de temps après l'achat.
(basé sur 7 avis de lecteurs)
Volatile Bodies: Toward a Corporeal Feminism
"Le lieu des recherches de l'auteur, le corps lui-même plutôt que la sphère des représentations subjectives de soi et de la fonction dans les cultures, est tout à fait nouveau.... Je pense que cet ouvrage fera date dans la réflexion féministe à venir". --Alphonso Lingis.
"Il s'agit d'un texte d'une rare érudition et d'une grande force intellectuelle. Il ne se contente pas d'initier les féministes à un ensemble enrichissant de perspectives théoriques, mais établit une norme critique élevée pour les dialogues féministes sur le statut du corps". --Judith Butler.
Volatile Bodies démontre que le corps sexuellement spécifique est socialement construit : la biologie ou la nature n'est pas opposée ou en conflit avec la culture. La biologie humaine est intrinsèquement sociale et n'a pas d'"origine" pure ou naturelle en dehors de la culture. En tant que matière première de l'organisation sociale et culturelle, elle est "incomplète" et donc sujette à la réécriture sans fin et à l'inscription sociale qui constituent tous les systèmes de signes.
En examinant les théories de Freud, Lacan, Merleau-Ponty, Foucault, Deleuze, Derrida, etc. sur le corps, Elizabeth Grosz conclut que le corps qu'ils théorisent est masculin. Ces penseurs ne rendent pas compte de la corporéité "humaine" mais de la corporéité masculine. Elizabeth Grosz se penche ensuite sur les expériences corporelles propres aux femmes - menstruation, grossesse, accouchement, allaitement, ménopause. Son examen de l'expérience féminine jette les bases de l'élaboration de théories de la corporéité sexuée, au lieu de se contenter de rectifier les modèles défectueux des théoriciens masculins.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)