Note :
Une chambre avec vue de E.M. Forster est un roman classique qui explore les thèmes de l'amour, des attentes de la société et du développement personnel à travers le parcours de Lucy Honeychurch, une jeune femme qui navigue entre ses émotions et ses désirs lors d'un voyage en Italie. Le livre se déroule à l'époque édouardienne et allie l'humour à des observations sociologiques sur la vie de la classe moyenne supérieure anglaise. Les lecteurs apprécient généralement la beauté de l'écriture, le développement des personnages et les décors évocateurs ; cependant, certains trouvent le rythme lent et les personnages peu racontables.
Avantages:Ce livre est magnifiquement écrit, avec des descriptions riches, des personnages bien développés, des thèmes captivants sur l'amour et les normes sociétales, et une représentation humoristique de la classe moyenne de l'époque édouardienne. De nombreux lecteurs décrivent la profondeur émotionnelle et le charme des décors comme enchanteurs.
Inconvénients:Certains lecteurs trouvent le rythme lent et l'histoire alambiquée. En outre, certains personnages peuvent sembler superficiels ou antipathiques, et les perspectives morales désuètes du roman peuvent sembler déconnectées des sensibilités modernes. Quelques plaintes ont également été formulées concernant la qualité physique du livre reçu.
(basé sur 723 avis de lecteurs)
A Room with a View
Edward Morgan Forster OM CH (1er janvier 1879 - 7 juin 1970) était un romancier, nouvelliste, essayiste et librettiste anglais. Nombre de ses romans traitent des différences de classe et de l'hypocrisie, notamment A Room with a View (1908), Howards End (1910) et A Passage to India (1924). C'est ce dernier qui lui a valu son plus grand succès. Il a été nominé pour le prix Nobel de littérature 16 années différentes.
Le premier roman de Forster, Where Angels Fear to Tread, a été qualifié par les critiques d'"étonnant" et de "brillamment original". Le Manchester Guardian (ancêtre du Guardian) a noté "une veine persistante de cynisme qui est susceptible de rebuter", bien que "le cynisme ne soit pas profondément enraciné". Le roman est qualifié de "comédie sordide qui culmine, de manière inattendue et avec une réelle force dramatique, en une tragédie grotesque". Lionel Trilling a qualifié ce premier roman d'"œuvre entière et mûre, dominée par une intelligence fraîche et imposante".
Les livres suivants ont reçu un accueil similaire lors de leur publication. Le Manchester Guardian a commenté Howards End en le décrivant comme "un roman de grande qualité écrit avec ce qui semble être une perception féminine brillante... plein d'esprit et pénétrant". Un essai de David Cecil dans Poets and Storytellers (1949) décrit Forster comme "vibrant d'intelligence et de sensibilité", mais surtout préoccupé par une vision morale originale : "Il raconte une histoire aussi bien que n'importe qui d'autre.
L'intérêt et l'appréciation des États-Unis pour Forster ont été stimulés par l'ouvrage de Lionel Trilling, E. M. Forster : A Study de Lionel Trilling, qui l'a qualifié de "seul romancier vivant qui peut être lu encore et encore et qui, après chaque lecture, me donne ce que peu d'écrivains peuvent nous donner après nos premiers jours de lecture de romans, la sensation d'avoir appris quelque chose". (Trilling 1943)
La critique de ses œuvres a notamment porté sur les couples improbables de personnages qui se marient ou se fiancent, et sur le manque de réalisme dans la représentation de l'attirance sexuelle. (wikipedia.org)
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)