Note :
La machine s'arrête » d'E.M. Forster est un roman de science-fiction prémonitoire et stimulant qui traite de la dépendance à la technologie et de la déconnexion de la société. Le récit se concentre sur une société futuriste où les humains sont entièrement dépendants d'une entité connue sous le nom de « la Machine ». À travers les perspectives contrastées des personnages Vashti et Kuno, l'histoire explore les thèmes de la non-conformité et de la recherche de sens dans un monde dominé par la technologie. Les lecteurs apprécient sa pertinence par rapport aux questions sociétales contemporaines, en particulier dans le contexte de l'impact de la technologie moderne sur la vie humaine.
Avantages:Commentaire intemporel et sophistiqué, pertinent pour le monde d'aujourd'hui, lecture rapide (environ 50 pages), bien écrit et réfléchi, réflexions prémonitoires sur la technologie et la société, fournit un terrain fertile pour la discussion, images et concepts forts sur la technologie future et les relations humaines.
Inconvénients:Pas de véritable développement des personnages, pas vraiment d'intrigue, plusieurs éditions souffrent de nombreuses fautes de frappe et de problèmes d'impression, certains lecteurs trouvent que la prose n'est pas éblouissante, qu'elle n'a pas la profondeur des œuvres plus longues et qu'elle peut sembler trop courte pour son prix.
(basé sur 398 avis de lecteurs)
The Machine Stops
La machine s'arrête est une courte histoire de science-fiction. Elle décrit un monde dans lequel presque tous les humains ont perdu la capacité de vivre à la surface de la Terre.
Chaque individu vit isolé dans une "cellule", tous ses besoins corporels et spirituels étant satisfaits par la machine globale omnipotente. La plupart des humains se réjouissent de cette évolution, car ils sont sceptiques et craignent l'expérience directe. Ils oublient que ce sont les humains qui ont créé la Machine et la considèrent comme une entité mystique dont les besoins sont supérieurs aux leurs.
Ceux qui n'acceptent pas la divinité de la Machine sont considérés comme "non mécaniques" et sont menacés de devenir des "sans-abri".
Finalement, la Machine s'effondre de manière apocalyptique et la civilisation de la Machine prend fin. Les installations étaient démodées et rudimentaires.
Il y avait même une préposée, à qui il fallait annoncer ses désirs pendant le voyage. Bien sûr, une plate-forme tournante s'étendait sur toute la longueur du bateau, mais on attendait d'elle qu'elle marche jusqu'à sa cabine. Certaines cabines étaient meilleures que d'autres, et elle n'a pas eu la meilleure.
Elle pensa que le préposé avait été injuste et des spasmes de rage la secouèrent. Les vannes en verre s'étaient refermées, elle ne pouvait plus revenir en arrière. Elle vit, au fond du vestibule, l'ascenseur dans lequel elle était montée monter et descendre tranquillement, vide.
Sous ces couloirs de tuiles brillantes se trouvaient des pièces, étage par étage, s'enfonçant loin dans la terre, et dans chaque pièce était assis un être humain, mangeant, dormant ou produisant des idées. Et dans les profondeurs de la ruche se trouvait sa propre chambre.
Vashti avait peur.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)