Note :
Le livre est une exploration détaillée de la vie et de la mort suspecte de Jane Stanford, cofondatrice de l'université de Stanford, mêlant le contexte historique, la politique universitaire et les théories du meurtre. Il présente un récit complexe, plein de personnages et de spéculations, mais on lui reproche d'être parfois trop détaillé et fastidieux.
Avantages:Une recherche approfondie avec des détails méticuleux, un contexte historique intrigant et un aspect « true crime » fascinant. Offre un aperçu des premières années de l'université de Stanford et de la dynamique sociale de l'époque. Convient aux passionnés d'histoire et à ceux qui s'intéressent à l'âge d'or.
Inconvénients:Le récit peut être fastidieux et alambiqué, s'enlisant souvent dans un excès de détails et de personnages, ce qui le rend difficile à suivre. Il manque de structure claire et est parfois répétitif, ce qui crée une certaine frustration chez le lecteur. Certains sujets familiers peuvent être sur-expliqués, ce qui pourrait décourager les lecteurs généraux.
(basé sur 57 avis de lecteurs)
Who Killed Jane Stanford?: A Gilded Age Tale of Murder, Deceit, Spirits and the Birth of a University
En 1885, Jane et Leland Stanford ont cofondé une université en l'honneur de leur jeune fils récemment décédé. Après la mort de son mari en 1893, Jane Stanford, une spiritualiste dévouée qui attendait de l'université qu'elle inculque ses valeurs, a dirigé Stanford vers l'excentricité et la controverse publique pendant plus d'une décennie.
En 1905, elle est assassinée à Hawaï, victime, selon le jury du coroner d'Honolulu, d'un empoisonnement à la strychnine. Son immense fortune étant la bouée de sauvetage de l'université, le président de Stanford et ses alliés ont rapidement cherché à exclure toute contestation de ses legs en construisant une histoire de mort naturelle. La dissimulation a pris de l'ampleur dans les labyrinthes obscurs du pouvoir, de la richesse et de la corruption du San Francisco de l'âge d'or.
Le meurtrier s'en est sorti. Passant habilement au crible les preuves éparses et les récits contradictoires des suspects et des témoins, Richard White nous livre le premier récit complet du meurtre de Jane Stanford et de sa dissimulation.
Sur fond de politique machinale de la ville, de police véreuse, de guerre des tongs et de rivalités entre journaux, la recherche du meurtrier par White nous entraîne dans la maison impérieuse de Jane Stanford et dans les inimitiés académiques de l'université. Bien que les responsables de Stanford aient affirmé que personne n'aurait pu vouloir assassiner Jane, nous rencontrons plusieurs personnes qui avaient les motifs et l'occasion de le faire.
L'une d'entre elles, nous le découvrons, en avait également les moyens.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)