Note :
La nouvelle édition « Hidden Lives of Jews and Africans : Underground Societies in the Iberian Atlantic World » présente une version condensée et modifiée de l'ouvrage précédent de Jonathan Schorsch, en se concentrant plus spécifiquement sur les judéoconversos et les afroibériens, tout en omettant certains chapitres relatifs aux perspectives indigènes. Le livre conserve un style académique similaire, mais est plus accessible en raison de sa longueur réduite et de son prix moins élevé. Il peut intéresser un public plus large, y compris des étudiants et des intellectuels, bien que certains lecteurs estiment qu'il pourrait bénéficier d'une révision plus poussée pour plus de clarté.
Avantages:⬤ Prix nettement inférieur à celui de l'ouvrage original en deux volumes.
⬤ L'introduction et la conclusion révisées améliorent le contexte.
⬤ L'accent mis sur des sujets spécifiques (Judeoconversos et Afroiberians) peut attirer des lecteurs ciblés.
⬤ Conserve la rigueur scientifique et les recherches méticuleuses de Schorsch.
⬤ omet des chapitres qui fournissaient un contexte plus large sur les peuples indigènes, ce qui pourrait limiter la compréhension de la dynamique raciale.
⬤ La prose reste dense et remplie de jargon académique, ce qui pourrait aliéner certains lecteurs.
⬤ Les changements limités apportés à l'argument central malgré l'évolution de l'historiographie peuvent décevoir ceux qui recherchent de nouvelles perspectives.
(basé sur 1 avis de lecteurs)
Hidden Lives of Jews and Africans: Underground Societies in the Iberian Atlantic World
L'Atlantique ibérique des XVIe et XVIIe siècles était un monde turbulent d'aventuriers, de marchands d'esclaves et de conversions forcées au catholicisme. Les souverains espagnols et portugais utilisaient les castes et le « sang » pour diviser les peuples de l'empire, qui, à leur tour, créaient leurs propres sociétés pour faire face à leurs oppresseurs et les uns aux autres.
Les Africains et les Juifs convertis ont été persécutés par l'Inquisition pour avoir pratiqué secrètement leur ancienne religion. Les Africains qui travaillaient dans les prisons de l'Inquisition exerçaient un pouvoir sur les accusés juifs convertis (Conversos). Certains étaient des témoins pour l'Inquisition, d'autres devenaient des messagers entre les prisonniers Conversos.
Dans cet enchevêtrement de religions, de cultures et de hiérarchies, rien n'est simple ni évident. Un conflit entre deux chirurgiens de Cartagena de Indias, l'un ancien esclave et l'autre Converso, implique non seulement des amants jaloux et des persécutions de la part des inquisiteurs, mais aussi des sociétés secrètes, de la magie africaine et des théories de conspiration à l'échelle mondiale. Un autre cas d'Inquisition, contre une femme connue sous le nom de « Mulatta Marano », fille d'une esclave africaine et d'un père converso au Mexique, a révélé un réseau d'Africains engagés dans des rites juifs.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)