Note :
Le livre « The Mansion » est une parabole courte mais puissante sur l'altruisme, le service et le véritable christianisme, autour du thème de Noël. Il encourage les lecteurs à réfléchir à leurs choix de vie et à donner la priorité au don plutôt qu'à la quête matérielle. Si de nombreuses critiques font l'éloge de son message édifiant et de sa nature stimulante, certaines signalent des problèmes liés à un langage désuet et à des problèmes d'édition.
Avantages:⬤ Message édifiant sur l'altruisme et le véritable esprit de don
⬤ encourage la réflexion sur les choix de vie
⬤ comparable à « Un chant de Noël »
⬤ court et accessible
⬤ bien accueilli en tant que tradition de vacances
⬤ beau et significatif pour les lecteurs de tous âges.
⬤ Un style de langage désuet peut rendre la lecture difficile
⬤ plusieurs rapports font état de problèmes d'édition et de formatage dans certaines éditions
⬤ certains trouvent que l'histoire est lente à démarrer.
(basé sur 236 avis de lecteurs)
The Mansion
Le manoir Weightman dégageait un air d'opulence calme et réservée qui ne parlait pas d'argent dilapidé, mais de richesse prudemment utilisée. Située à un coin de l'avenue qui n'est plus à la mode pour y habiter, elle regardait la marée montante des affaires avec une expression de complaisance et de demi-dédain.
La maison n'était pas belle. Sa façade droite en pierre couleur chocolat, ses lourdes corniches, ses larges fenêtres en verre plat, ses portes en acajou sculptées et ornées de bronze au sommet du large perron n'avaient rien pour charmer l'œil ou fasciner l'imagination. Mais elle était éminemment respectable et, à sa manière, imposante. Elle semblait dire que les boutiques étincelantes des bijoutiers, des modistes, des confiseurs, des fleuristes, des marchands de tableaux, des fourreurs, des fabricants d'antiquités rares et coûteuses, des marchands au détail des produits de luxe de la vie, étaient sous l'attention d'une maison qui avait ses fondations dans la haute finance, et qui était construite, au sens propre comme au sens figuré, à l'ombre de l'église Saint-Pétrone.
En même temps, il y avait quelque chose de satisfait et de félicité dans la façon dont le manoir se maintenait au milieu du voisinage changeant. Elle semblait presque s'élever un peu, parmi les grands immeubles proches, comme si elle ressentait la valeur croissante du terrain sur lequel elle s'élevait.
John Weightman était comme la maison dans laquelle il s'était construit il y a trente ans, et dans laquelle ses idéaux et ses ambitions étaient incrustés. C'était un homme qui s'était fait tout seul. Mais en se faisant lui-même, il avait choisi un modèle très estimé et travaillé selon les règles approuvées. Il n'y avait rien d'irrégulier, de douteux, de flamboyant en lui. Il était solide, correct et réussissait à juste titre.
- Extrait de "The Mansion", écrit par Henry Van Dyke.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)