Note :
Le livre « The Mansion » est une histoire puissante et stimulante qui encourage les lecteurs à réfléchir à leurs choix de vie et à la véritable signification du don. Il établit des comparaisons avec « Un chant de Noël » de Charles Dickens et sert de rappel moral sur l'altruisme et la priorité à donner aux trésors éternels plutôt qu'aux trésors temporels. Si de nombreux lecteurs ont salué son message édifiant et sa pertinence saisonnière, d'autres se sont heurtés à un langage désuet et à des problèmes d'édition.
Avantages:⬤ Une histoire édifiante et qui donne à réfléchir, avec des thèmes moraux forts.
⬤ Convient à la lecture pendant la période de Noël ou à tout autre moment.
⬤ Encourage l'auto-réflexion sur les choix de vie et le véritable don de soi.
⬤ Court et concis, il est accessible en une seule séance.
⬤ Messages positifs sur le service et la compassion.
⬤ Le style de langage désuet peut rendre la lecture difficile.
⬤ Certains rapports font état de problèmes de grammaire et de rédaction.
⬤ Peut être considéré comme lent à démarrer pour certains lecteurs.
⬤ Moins percutant que d'autres ouvrages du même auteur.
(basé sur 236 avis de lecteurs)
The Mansion
Le manoir Weightman dégageait un air d'opulence calme et réservée qui ne parlait pas d'argent dilapidé, mais de richesse prudemment utilisée. Située à un coin de l'avenue qui n'est plus à la mode pour y habiter, elle regardait la marée montante des affaires avec une expression de complaisance et de demi-dédain.
La maison n'était pas belle. Sa façade droite en pierre couleur chocolat, ses lourdes corniches, ses larges fenêtres en verre plat, ses portes en acajou sculptées et ornées de bronze au sommet du large perron n'avaient rien pour charmer l'œil ou fasciner l'imagination. Mais elle était éminemment respectable et, à sa manière, imposante. Elle semblait dire que les boutiques étincelantes des bijoutiers, des modistes, des confiseurs, des fleuristes, des marchands de tableaux, des fourreurs, des fabricants d'antiquités rares et coûteuses, des marchands au détail des produits de luxe de la vie, étaient sous l'attention d'une maison qui avait ses fondations dans la haute finance, et qui était construite, au sens propre comme au sens figuré, à l'ombre de l'église Saint-Pétrone.
En même temps, il y avait quelque chose de satisfait et de félicité dans la façon dont le manoir se maintenait au milieu du voisinage changeant. Elle semblait presque s'élever un peu, parmi les grands immeubles proches, comme si elle ressentait la valeur croissante du terrain sur lequel elle s'élevait.
John Weightman était comme la maison dans laquelle il s'était construit il y a trente ans, et dans laquelle ses idéaux et ses ambitions étaient incrustés. C'était un homme qui s'était fait tout seul. Mais en se faisant lui-même, il avait choisi un modèle très estimé et travaillé selon les règles approuvées. Il n'y avait rien d'irrégulier, de douteux, de flamboyant en lui. Il était solide, correct et réussissait à juste titre.
- Extrait de "The Mansion", écrit par Henry Van Dyke.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)