Note :
Ce livre offre une vue d'ensemble de la Beat Generation, en mettant l'accent sur des figures clés telles qu'Allen Ginsberg, Jack Kerouac et William Burroughs. De nombreux lecteurs apprécient son contexte historique détaillé et la variété des voix qui s'y expriment. Cependant, certains trouvent que le style d'écriture manque de profondeur et de cohésion narrative, ce qui le rend moins attrayant pour ceux qui recherchent une approche plus narrative.
Avantages:⬤ Une exploration complète et approfondie de la Beat Generation et de ses figures clés.
⬤ De riches détails historiques et le contexte de l'époque.
⬤ Intéressant pour les lecteurs qui connaissent la Beat Generation et offre un aperçu des figures moins connues.
⬤ Le livre se lit bien pour ceux qui s'intéressent aux récits biographiques, avec un bon équilibre entre les détails et les ragots littéraires.
⬤ Certains critiques ont trouvé que le style d'écriture était sec, manquant de l'éloquence attendue d'un livre sur des figures littéraires aussi vibrantes.
⬤ Le récit peut sembler anecdotique et décousu, ce qui entraîne un manque de cohésion.
⬤ L'accent est trop mis sur le rôle central de Ginsberg, certains estimant qu'il néglige la nature collaborative du mouvement.
⬤ Peut ne pas fournir suffisamment d'informations ou de profondeur pour les lecteurs à la recherche d'une analyse littéraire approfondie.
(basé sur 18 avis de lecteurs)
The Typewriter Is Holy
Quiconque souhaite comprendre l'effervescence culturelle de l'Amérique de la fin du XXe siècle doit connaître les écrits et la vie de ces bohémiens débraillés connus sous le nom de « Beat ».
Dans cet ouvrage très divertissant, Bill Morgan, la plus grande autorité du pays sur le mouvement et un homme qui a personnellement connu la plupart des écrivains Beat, raconte leur histoire, retraçant leurs origines dans les années 1940 jusqu'à leur influence sur les bouleversements sociaux des années 1960.
Les Beat, par leurs mots et leur vie anticonformiste, ont remis en question l'Amérique statique de l'après-guerre. Ils croyaient en la liberté d'expression, s'essayaient à l'amour libre et condamnaient l'influence croissante de la culture militaire et de la culture d'entreprise dans notre vie nationale. Mais les Beats n'étaient pas des saints. Ils prenaient trop de drogues et consommaient trop d'alcool. La fervente croyance en la spontanéité qui caractérisait leur vie et leurs écrits a détruit certaines amitiés.
En observant leur vie péripatéticienne et leurs mésaventures sexuelles, nous nous rappelons surtout que si leur vie personnelle n'était peut-être pas sainte, leurs machines à écrire et leurs mots durables l'étaient tout à fait.
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)