Note :
Ce livre explore la relation entre la traduction, la justice et la communication entre les disciplines. Il critique l'inaccessibilité du discours académique et l'effet déshumanisant qu'il peut avoir, tout en plaidant pour une pensée intégrative illustrée par la poésie et les interprétations juridiques. L'auteur analyse les décisions de la Cour suprême pour mettre en évidence l'influence du langage sur la justice.
Avantages:Cet ouvrage, dont l'argumentation est bien structurée, offre une vision approfondie du langage et de la justice, plaide en faveur d'une communication interdisciplinaire et explore la nature humanisante de la poésie. Ce livre est recommandé à un large éventail de lecteurs, dont des linguistes, des philosophes et des juristes.
Inconvénients:Certains lecteurs ont trouvé que certains points du livre étaient incohérents ou mal étayés, décrivant le contenu comme aléatoire.
(basé sur 5 avis de lecteurs)
Justice as Translation: An Essay in Cultural and Legal Criticism
White élargit sa conception du droit américain en tant que rhétorique constitutive de la culture juridique américaine qu'il a proposée dans When Words Lose Their Meaning, et se demande comment les Américains peuvent et doivent critiquer cette culture et les textes qu'elle crée. Pour déterminer si une opinion judiciaire est bonne ou mauvaise, il explore la possibilité d'une critique culturelle, la nature du langage conceptuel, le caractère du discours économique et juridique et les attentes appropriées en matière d'écriture critique et analytique. White utilise son approche unique en analysant des cas individuels impliquant le quatrième amendement de la constitution des États-Unis et démontre comment un juge traduit les faits et la tradition juridique, créant un texte qui construit une communauté politique et éthique avec ses lecteurs.
"White nous a donné non seulement une nouvelle réponse aux questions jurisprudentielles traditionnelles, mais aussi une nouvelle façon de lire et d'évaluer les opinions judiciaires, et donc une nouvelle appréciation de la liberté qu'elles continuent à protéger" - Robin West, Times Literary Supplement.
"James Boyd White devrait être nommé à la Cour suprême, uniquement sur la base de ce livre.... Justice as Translation est un important ouvrage de philosophie, mais il est écrit dans un style lucide et amical qui ne nécessite aucune connaissance en philosophie. Il transformera votre façon de penser le droit" - Henry Cohen, Federal Bar News & Journal.
"White nous invite à nous élever au-dessus du langage souvent morne et ennuyeux dans lequel on nous apprend à écrire professionnellement.... Il est difficile d'imaginer que l'on puisse égaler la clarté et l'éloquence du défi lancé par White. La grâce apparemment sans effort de sa prose transmet des pensées complexes avec une simplicité trompeuse" -Elizabeth Mertz, Yale Journal of Law and the Humanities.
" Justice as Translation, comme les travaux antérieurs de White, constitue un rappel rafraîchissant du fait que les sciences humaines, malgré les coups de boutoir qu'elles ont récemment subis, peuvent être humaines" -Kenneth L. Karst, Michigan Law Review.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)