Note :
Le livre « The Deadly Brotherhood : The American Combat Soldier in World War II » (La fraternité mortelle : le soldat de combat américain pendant la Seconde Guerre mondiale) fournit un compte rendu complet et détaillé de la Seconde Guerre mondiale du point de vue des soldats de première ligne. Il associe des informations historiques bien documentées à des récits personnels, en mettant l'accent sur l'expérience des soldats de combat et sur les divers défis quotidiens auxquels ils ont été confrontés pendant la guerre.
Avantages:⬤ Bien documenté et bien écrit
⬤ donne un aperçu unique des expériences des soldats
⬤ comprend des récits à la première personne
⬤ informatif et captivant
⬤ facile à lire
⬤ offre des discussions détaillées sur les rations, les armes et la vie quotidienne au combat
⬤ recommandé pour les historiens militaires, les passionnés de la Seconde Guerre mondiale et les lecteurs en général.
⬤ Peut être répétitif
⬤ certaines parties peuvent ne pas offrir de nouvelles informations aux lecteurs chevronnés de l'histoire militaire
⬤ certains lecteurs souhaitaient plus de suivi sur les soldats individuels
⬤ certaines critiques soulignent l'accent mis sur les plaintes et les lacunes sans mettre en évidence les actions efficaces.
(basé sur 36 avis de lecteurs)
The Deadly Brotherhood: The American Combat Soldier in World War II
Dans son livre Men Against Fire, l'historien S. L. A. ) Marshall affirme que seuls 15 à 25 % des soldats américains ont tiré au combat pendant la Seconde Guerre mondiale....
Le fait de tirer sur l'ennemi permettait à l'homme de faire partie de « l'équipe » ou de la « fraternité ». Il y avait bien sûr de nombreuses occasions où les soldats ne voulaient pas tirer.
Par exemple, la nuit, lorsqu'ils ne voulaient pas dévoiler leur position, ou lors de patrouilles de reconnaissance. Mais, dans l'ensemble, aucun soldat de combat sain d'esprit n'aurait délibérément cherché à traverser toute l'année sans jamais tirer, parce qu'il aurait été exclu de la fraternité, mais aussi parce que cela aurait été préjudiciable à sa propre survie. L'un des sous-officiers du commandant de la compagnie de fusiliers (Harold) Leinbaugh a bien résumé la situation en parlant de Marshall : « Ce salaud pensait-il que nous...
On a tué les Allemands à coups de matraque ? « .
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)