Note :
Ce livre présente une perspective fascinante et unique sur l'histoire ancienne, notamment en ce qui concerne l'Arche d'Alliance et ses liens avec l'histoire britannique. Il est bien documenté et encourage les lecteurs à remettre en question les récits historiques conventionnels, bien qu'il soit parfois dense et difficile à digérer.
Avantages:Le livre est salué pour son format attrayant et facile à lire, ses recherches approfondies et les idées nouvelles qu'il introduit sur l'histoire ancienne. Les lecteurs apprécient l'engagement des auteurs et leur capacité à remettre en question les perspectives historiques existantes. Beaucoup l'ont trouvé fascinant et instructif, certains considérant qu'il changeait la donne et appelant d'autres auteurs à poursuivre des recherches historiques rigoureuses similaires.
Inconvénients:Certains lecteurs ont trouvé le livre confus et lourd par endroits, ce qui oblige à le lire par étapes pour en saisir pleinement le contenu. Quelques critiques ont relevé des répétitions et suggéré qu'il serait plus simple de regarder les auteurs discuter sur des plateformes telles que YouTube. En outre, une certaine familiarité avec des sujets connexes pourrait améliorer la compréhension.
(basé sur 17 avis de lecteurs)
The Discovery of the Ark of the Covenant
L'histoire britannique nous apprend qu'il y a eu deux grandes migrations du Proche-Orient vers la Grande-Bretagne dans l'Antiquité. L'une était la migration de la flotte syrienne dirigée par Albyne vers 1560 avant J.-C., et l'autre était la deuxième migration de la flotte des régions troyennes des Dardanelles en Turquie occidentale, dirigée par Brutus vers 504 avant J.-C.. Les inscriptions alphabétiques anciennes et d'autres documents tangibles et écrits montrent que la deuxième migration était celle des dix tribus d'Israël. On retrouve le même alphabet antique tout au long des routes migratoires britanniques, de la Palestine à l'Assyrie, en passant par l'Asie mineure, la mer Égée, l'Italie étrusque et la Suisse rhétique. En Grande-Bretagne, les Dix Tribus étaient connues sous le nom de Khumry.
Ces recherches ont débuté en 1976, il y a 31 ans, et n'ont rencontré que de l'opposition et de l'obstruction.
Vers 1360 avant J.-C., Moïse fait fabriquer le fabuleux coffret appelé l'Arche d'Alliance. Ce coffre sacré était le talisman national de la nation hébraïque. Elle était vénérée comme le lieu de la présence du dieu Yahvé et la chose la plus sainte appartenant à la nation hébraïque. Le roi David confia l'Arche à la famille d'Obed Edom, qui l'emmena à Jérusalem vers 975 av. J.-C. avec la famille d'Obed Edom. Le roi suivant, Salomon, construisit un temple célèbre à Jérusalem pour abriter l'Arche, où le grand prêtre entrait chaque année dans la chambre du saint des saints pour servir le coffret divin. On ne parle plus guère de l'Arche jusqu'à ce que, vers 790 av. J.-C., le roi de Judée Ahaziah affronte le roi israélite Joachim et soit totalement vaincu. Le roi victorieux Joachim se rendit alors à Jérusalem où il prit tout le palais et tout le temple, et il enleva également la famille d'Obed Edom, qui est la famille mentionnée plusieurs fois dans la Bible comme gardienne de l'Arche, gardienne de l'Arche. Joachim retira donc l'Arche de Jérusalem et l'emmena au nord, à Samarie.
La Bible ne mentionne pas la présence de l'Arche à proximité de Jérusalem après cet événement survenu vers 790 avant Jésus-Christ. En 740-736 av. J.-C., le roi de Judée Achaz a versé un énorme pot-de-vin à l'empereur assyrien Tiglathpilesar III pour qu'il attaque le roi Pékah de la tribu des Dix d'Israël, ce qui a eu pour effet d'écraser Israël sous les coups de l'armée assyrienne. Un grand nombre de nobles et de dirigeants israélites ont été immédiatement déportés vers le nord, dans les régions autour de Harran, d'où le patriarche Abraham avait commencé ses migrations. Au cours des campagnes successives des empereurs assyriens Shalmaneser IV, Sargon II et Sennachérib, un grand nombre de membres de la nation israélite ont été déportés vers le nord et dans les régions situées au nord de Harran. En 702 avant J.-C., Sennachérib raconte comment il a déporté 200 à 120 personnes en un seul exode massif. Les documents assyriens appellent sans équivoque et de manière persistante les Dix Tribus "Khumry". Il est pratiquement certain que ces Dix Tribus déportées ont emporté l'Arche d'Israël avec elles. Sennachérib fut assassiné par deux de ses fils vers 687 av. J.-C. et une guerre civile ravagea l'Empire assyrien. Alors que l'héritier Esarhaddon luttait contre les meurtres, les Dix Tribus massées profitèrent de l'occasion pour se déplacer vers l'ouest en traversant les deux branches supérieures de l'Euphrate en forme de "Y", comme le décrit le livre d'Esdras II. Ils se déplacèrent lentement et de manière ininterrompue à travers la Siasie mineure et les Grecs enregistrèrent leur migration sous le nom de Kimmerio-Khumry.
On sait que les Khumry avaient l'Arche avec eux lors de leur voyage depuis le nord de l'Assyrie jusqu'aux Dardanelles, en passant par l'Asie mineure. Enfin, vers 650 avant J.-C., la nation s'est divisée en deux et une moitié a migré vers l'Italie tandis que l'autre moitié est restée dans les régions autour de Byzance jusqu'à environ 504 avant J.-C., lorsqu'elle s'est rassemblée sur l'île de Lemnos avant d'embarquer pour la Grande-Bretagne dans les flottes. Une pierre inscrite, trouvée sur l'île de Lemnos en 1876 et aujourd'hui conservée au musée d'Athènes, témoigne de ce rassemblement et de l'intention de naviguer vers la Grande-Bretagne. Soit l'arche a été transportée en Italie étrusque vers 650.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)