Note :
Ce livre décrit l'intense bataille pour la colline 112 pendant la Seconde Guerre mondiale, en explorant à la fois l'importance stratégique de l'endroit et les expériences personnelles des soldats qui y ont participé. Il combine une analyse historique complète avec des récits personnels et des cartes pour un récit captivant.
Avantages:Une mise en page intéressante, un style d'écriture facile, une lecture passionnante avec des récits personnels de soldats, bien étayée par des cartes et des photos, une perspective impartiale sur les expériences britanniques et allemandes, un large éventail de sujets allant de la stratégie au combat tactique.
Inconvénients:Certains lecteurs pourraient trouver que le sujet n'est pas passionnant en raison de son contexte historique sérieux ; des problèmes de cartographie ont déjà été signalés par des lecteurs concernant d'autres ouvrages de l'éditeur.
(basé sur 4 avis de lecteurs)
Hill 112: The Key to Defeating Hitler in Normandy
Il raconte les combats acharnés menés par les Hampshire et les Dorset dans les villages d'Eterville et de Maltot contre les chars Tiger et les panzergrenadiers SS.
La maxime "Celui qui tient la cote 112 tient la Normandie" semble improbable lorsqu'on regarde la colline de loin, mais lorsqu'on atteint son plateau, la vue se déploie dans toutes les directions sur une immense étendue de la Normandie. Pour les Allemands, il s'agit d'un terrain défensif vital, mais pour les Britanniques, c'est une étape essentielle vers l'Orne et l'accès à la campagne ouverte au sud, vers Falaise.
La Hitlerjugend SS Panzer Division perdit la cote 112 au profit de la 4e brigade blindée lorsque les Écossais capturèrent le pont de Tourmauville intact, mais l'essence du problème tactique de la cote 112 devint rapidement évidente. Il était impossible pour les blindés de survivre sur ce large plateau, tandis que l'infanterie ne pouvait tenir les vergers et les bois squelettiques qu'au prix de pertes écrasantes. Le IIe SS Panzer Corps se préparant à attaquer les Britanniques, la prise d'orteil fut abandonnée et la 11e Division blindée se retrouva à tenir une tête de pont sur la rivière Odon.
Dix jours plus tard, la 43e division Wessex reçut l'ordre de reprendre l'avance vers l'Orne, avec la cote 112 comme premier objectif. Alors que les hommes et les chars du pays de l'Ouest s'apprêtent à avancer, ils essuient un feu nourri en provenance de la forteresse qu'est devenue la cote 112. Le décor était planté pour l'une des batailles les plus terribles de la campagne.
Pendant six semaines, de la fin juin au mois d'août, lorsque l'avancée des Alliés s'est enfin accélérée, la cote 112 était bien trop importante pour que l'opposition puisse la tenir et l'exploiter. Par conséquent, elle fut régulièrement bombardée et mortifiée, et enveloppée de fumée et de poussière, tandis que les soldats des deux camps s'accrochaient à leurs bords respectifs du plateau.
À la fin, la cote 112 avait acquis une réputation aussi mauvaise que celle de n'importe quel point du front occidental de la Première Guerre mondiale.
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)