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Pre Eternity of the World
À propos de Christopher Buckley, le regretté poète Peter Everwine a écrit : "Je ne pense pas connaître d'autre poète qui ait une telle portée verticale et une telle profondeur". Buckley parvient à avoir un pied dans la boue physique et la tendresse du monde et l'autre pied planté parmi les étoiles et les galaxies de l'univers. Le dernier recueil de Buckley, Pre-Eternity of the World, est constamment le type de poésie décrit par Everwine. Dans le poème-titre, Buckley décrit la pré-éternité comme "des tas de confettis quantiques / à l'infini... sous le plancher / du temps....". Allez savoir".
Mais s'agit-il d'un simple rejet ou le poète demande-t-il au lecteur de calculer l'incalculable ? Il demande : "Nos parents ont-ils combattu la Seconde Guerre mondiale / juste pour que nous puissions aller au cinéma / le samedi", regarder la télévision en noir et blanc, ou "s'allonger sur une colline après l'école / en laissant notre imagination s'envoler / avec des formations nuageuses ? C'est à peu près tout". Ce genre de questions, aussi cyniques soient-elles, sont surprenantes et libératrices, et il écrit sur le dessein intelligent, la vacillation, la science et les mathématiques.
Le poète est "appelé" à rester "déconcerté". Telle est la beauté de la poésie de Buckley, avec "Rien d'autre que le temps pour m'empêcher / de penser".
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Je ne pense pas connaître d'autre poète qui ait une telle portée verticale et une telle profondeur.
Buckley parvient à avoir un pied dans la boue physique et la tendresse du monde et l'autre pied planté parmi les étoiles et les galaxies de l'univers. Ce que j'aime aussi, c'est son agitation formelle, les différents moyens qu'il utilise pour atteindre ses sujets.
-Peter Everwine.
Les poèmes sont verbalement si riches, si généreux, si clairs (je ne peux m'empêcher d'entonner les fioritures rhétoriques), si inclusifs, si ironiques. J'aime particulièrement l'orientation vers la physique/cosmologie à grande échelle en même temps que (Buckley) raconte son propre passé.... J'aime le ton - comment aborder sa mortalité et sa malchance autrement qu'avec ironie et affection, animée par la gratitude ?
- Dennis Schmitz.
Buckley est notre doux cynique à nous, pratiquant, sous des déguisements vernaculaires, le style doré de la vision et du langage recommandé par Virgile, le doute acide de Donne et d'Alan Dugan. En lisant ses magnifiques poèmes, je ressens la fraternité, la subsistance et la grâce d'un chant qui n'est pas tout à fait sans Dieu.
-Garrett Hongo.
Christopher Buckley amuse, choque et éclaire avec son esprit sardonique. Ses poèmes portent sur des questions métaphysiques - pourquoi il y a quelque chose plutôt que rien, la perte des croyances religieuses de l'enfance, les questions sur les débuts et les fins cosmiques, les quêtes de réponses qui n'existent peut-être pas. C'est un plaisir de suivre son esprit agile et bien informé lorsqu'il réfléchit à ces sujets lourds.
-Henry Hart.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)