Note :
Les critiques du livre soulignent la profondeur et la perspicacité de la correspondance entre William Maxwell et Sylvia Townsend Warner. Les lecteurs apprécient l'écriture captivante et la richesse des détails de la vie quotidienne et des interactions professionnelles. Cependant, les sentiments sont partagés quant à la nature de leur relation, certains trouvant l'admiration mutuelle trop sentimentale et manquant de substance.
Avantages:L'écriture captivante, la profondeur et la perspicacité des relations, la beauté du langage et de l'amitié, les récits mémorables d'événements historiques, les détails domestiques drôles et touchants, font de ce livre un ajout important à la bibliothèque personnelle.
Inconvénients:Certains lecteurs trouvent la relation superficielle et trop flagorneuse, et regrettent d'avoir dépensé de l'argent pour ce livre s'ils ne s'intéressent pas aux autres œuvres des auteurs.
(basé sur 5 avis de lecteurs)
The Element of Lavishness: Letters of Sylvia Townsend Warner and William Maxwell 1938-1978
Un classique instantané de la littérature de l'amitié : la correspondance pleine d'esprit et d'affection d'une grande écrivaine et de sa rédactrice en chef pendant 40 ans...
du plaisir et de l'enchantement. En juillet 1938, William Maxwell, alors âgé de vingt-neuf ans et rédacteur en chef par intérim de la rubrique poésie du New Yorker, écrit à Sylvia Townsend Warner pour l'inviter à lui envoyer des vers.
Mlle Warner, âgée de quarante-quatre ans et célèbre pour son roman Lolly Willowes, avait récemment commencé à écrire des histoires pour le magazine, des esquisses anticonformistes et inimitables de la vie anglaise que Maxwell adorait. Les poèmes sont envoyés et une amitié remarquable naît.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)