Note :
Ce livre raconte de manière captivante la vie de l'aviateur Ernst Udet, depuis la Première Guerre mondiale jusqu'au début de la Seconde, en mettant l'accent sur ses anecdotes personnelles, son sens de l'aventure et ses expériences de vol. Les lecteurs apprécient les croquis humoristiques et humanisants de la vie d'Udet, même si certains estiment que le livre pourrait être plus approfondi et détaillé dans certains domaines.
Avantages:Le récit est bien écrit et captivant, offre de riches anecdotes personnelles, capture l'esprit de l'époque, des croquis fascinants des relations interpersonnelles, les lecteurs se sentent immergés dans les expériences d'un as du pilotage, un grand plus pour les passionnés de l'histoire de l'aviation.
Inconvénients:Certains lecteurs souhaiteraient plus de détails et de profondeur, en particulier en ce qui concerne les expériences de combat d'Udet, le livre aurait pu bénéficier d'une introduction plus longue ou d'un post-scriptum, et il se termine abruptement avant d'avoir exploré pleinement l'ère nazie.
(basé sur 10 avis de lecteurs)
Ace of the Black Cross: The Memoirs of Ernst Udet
Au-dessus de la boue et de la misère des tranchées et des interminables combats de la Première Guerre mondiale, une autre bataille s'est déroulée avec tout l'éclat militaire, les valeurs chevaleresques et l'issue mortelle d'un tournoi médiéval de chevaliers.
Il s'agissait de la bataille aérienne entre les premiers avions primitifs et les intrépides aviateurs qui les pilotaient. Cette image de la guerre aérienne est noblement mise en lumière dans les mémoires d'Ernst Udet, l'as allemand des as, dont l'impressionnant palmarès en temps de guerre n'a eu d'égal que celui du légendaire Baron Rouge.
Rédigé dans un style enjoué, propre aux garçons, Udet brosse un tableau romantique de ses expériences et rend compte de ce que de nombreux jeunes pilotes ont dû ressentir lorsqu'ils s'envolaient chaque jour pour affronter l'ennemi, les éléments et une technologie peu fiable. L'As de la Croix Noire illustre également la façon dont la guerre et la défaite ont laissé cette jeune génération d'individus robustes, fougueux, sans racines et sans repos. Après la guerre, Udet utilise ses talents de pilote pour faire des démonstrations devant des foules de spectateurs ébahis, un numéro de cirque qui le laisse frustré et plein de ressentiment.
En 1941, désillusionné et déprimé, il se suicide. Sur le mur avant sa mort, il a griffonné un message à l'intention de Goring : Homme de fer, tu m'as trahi.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)