Note :
Le livre « The Age of Homespun » de Laurel Thatcher Ulrich explore le rôle des femmes et de la culture matérielle au début de l'Amérique coloniale à travers divers artefacts. Si de nombreux lecteurs apprécient sa perspective unique et la profondeur de son analyse historique, d'autres le trouvent trop détaillé ou surchargé d'informations.
Avantages:Le livre est loué pour son examen perspicace des artefacts, son approche unique de l'histoire et sa profondeur dans l'exploration de la signification culturelle des biens matériels. De nombreux lecteurs l'ont trouvé fascinant et l'ont considéré comme une excellente ressource pour comprendre l'histoire de l'Amérique coloniale et le rôle des femmes. Il suscite des discussions entre les lecteurs et est recommandé à ceux qui s'intéressent à l'histoire, aux textiles et aux études culturelles.
Inconvénients:Les critiques soulignent que le livre peut être trop technique, certaines sections semblant plus longues ou tangentielles, ce qui ralentit le rythme et peut amener certains lecteurs à se désintéresser de l'ouvrage. Certains commentaires portent sur la longueur excessive de l'introduction et sur l'impression générale que l'ouvrage ne se concentre pas suffisamment sur les objets eux-mêmes.
(basé sur 29 avis de lecteurs)
The Age of Homespun: Objects and Stories in the Creation of an American Myth
Ils ont commencé leur existence en tant qu'objets quotidiens, mais entre les mains de l'historienne primée Laurel Thatcher Ulrich, quatorze articles domestiques de l'Amérique préindustrielle - allant d'une nappe en lin à une chaussette inachevée - révèlent leur histoire et offrent de profonds aperçus de notre histoire. À une époque où même les repas sont rarement préparés à partir de zéro, les objets domestiques acquièrent facilement une certaine nostalgie.
Les objets étudiés par Ulrich dévoilent ces illusions simplifiées et révèlent des indices importants sur la culture et les personnes qui les ont fabriqués. Ulrich utilise un panier indien pour explorer la coexistence malaisée des Américains autochtones et coloniaux.
Une broderie en soie révèle les distinctions de race et de classe, et deux vieux rouets mettent en lumière les liens entre la fabrication de tissus coloniaux et la guerre. En tirant ces fils divergents ensemble, Ulrich montre comment les premiers Américains fabriquaient, utilisaient, vendaient et conservaient les textiles afin d'affirmer leur identité, de façonner leurs relations et de créer l'histoire.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)