Note :
L'anthologie des poèmes d'Arseny Tarkovsky, traduits en anglais, a reçu des critiques mitigées, beaucoup louant la beauté et la profondeur des traductions, tandis que d'autres en critiquent la qualité.
Avantages:Les poèmes sont décrits comme riches en émotions et profondément émouvants. Les traductions transmettent de manière adéquate la passion et la sensibilité de Tarkovski, rendant les poèmes accessibles à un public plus large. De nombreux critiques soulignent la superbe qualité des traductions et l'intérêt d'avoir le texte original russe à côté.
Inconvénients:Certains lecteurs trouvent les traductions inadéquates et remettent en question la décision de traduire les poèmes. Les avis sont partagés en ce qui concerne les attentes par rapport au contenu, certains suggérant qu'ils attendaient davantage de ce recueil.
(basé sur 7 avis de lecteurs)
I Burned at the Feast: Selected Poems of Arseny Tarkovsky
Poésie. Film. Traduit du russe par Philip Metres et Dimitri Psurtsev. Tarkovski rejoint désormais les rangs de Mandelstam, Akhmatova et Brodksky. Les traductions de Philip Metres et Dimitri Psurtsev, à la fois succinctes et allusives, d'une franchise cinglante et d'une grande ampleur, endeuillées et festives, sont des merveilles. --Citation de PEN/Heim.
Comment traduire l'œuvre du classique russe Arseny Tarkovsky ? Imaginez que vous essayiez de traduire Yeats : rhétorique de haut vol, émotion intense, tonalités locales de la langue, contexte historique complexe, la vieille équation du poète contre l'État, le ton d'un tendre poème d'amour, tout cela réuni, tout cela exquis dans son exécution - et tout cela tellement impossible à rendre à nouveau. Et pourtant, on essaie. Dans le cas de Philip Metres et Dimitri Psurtsev, on essaie brillamment, avec enthousiasme, avec passion, avec une attention qui s'apparente à celle d'une prière, avec l'oreille de vrais poètes. Le résultat ? La gravité et la franchise du ton de Tarkovski sont transposées sans faille en anglais, elles sont là, honnêtes et douloureuses, perçantes et même timides parfois, comme un cerf qui vous regarde droit dans les yeux avant de s'enfuir. L'ambition de Tarkovski était de nous chercher - nous qui vivrons après lui - à travers la terre, à travers le temps. C'est ce qu'il fait dans cette brillante traduction. --Ilya Kaminsky.
Arseny Tarkovsky avait dix ans au moment de la révolution russe et est mort six mois avant l'ouverture du mur de Berlin. Il a passé sa carrière de poète à créer des transfigurations intérieures élégantes et austères du bonheur simple et du chagrin pur, des triomphes du moi individuel contre les réalités brutales de la vie quotidienne en temps de guerre et dans la Russie communiste. Grâce à cette traduction méticuleuse de son œuvre, les lecteurs découvriront une poésie métaphysique complexe, à la fois brûlante et sombre, en dialogue avec les grands poètes soviétiques tels qu'Osip Mandelstam et Anna Akhmatova. Tarkovski écrit sur un pays où "nous vivions, il fut un temps, comme dans une tombe, ne buvions pas de thé" mais parvenions néanmoins à faire "du pain avec des mauvaises herbes", où le "ciel bleu est sombre" mais parvient néanmoins à être la "nourrice des libellules et des oiseaux"... --Michael Dumanis.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)