Note :
Le livre « Breezeway » de John Ashbery reçoit un mélange d'éloges et de critiques de la part des lecteurs. Beaucoup apprécient le langage comique et avant-gardiste et la profondeur des émotions présentes dans ses poèmes, tandis que d'autres trouvent le style confus et décousu. Certains critiques soulignent sa maîtrise dans l'association de thèmes contemporains et de jeux de mots complexes, mais d'autres se plaignent de la difficulté à comprendre les poèmes et d'une baisse de qualité perçue par rapport à ses œuvres antérieures. Dans l'ensemble, ce recueil constitue une expérience de lecture stimulante mais gratifiante, même si elle risque d'en frustrer certains.
Avantages:⬤ Des jeux de mots et un humour pleins d'esprit et inventifs.
⬤ Profondeur émotionnelle et thèmes profonds de l'éphémère et de la finalité.
⬤ Une approche unique et avant-gardiste de la poésie moderne.
⬤ Des images vivantes et des moments de clarté dans la complexité.
⬤ De nombreux lecteurs ont apprécié les perspectives nouvelles et les éléments satiriques.
⬤ Certains poèmes sont considérés comme confus ou obtus, entraînant une expérience de lecture frustrante.
⬤ Perception d'une baisse de qualité par rapport aux œuvres précédentes d'Ashbery.
⬤ Nécessite une lecture attentive et lente pour l'apprécier pleinement, ce qui rend difficile la participation à des sessions plus longues.
⬤ Sentiments mitigés quant à l'utilisation de références à la culture pop, qu'elles soient intrigantes ou distrayantes.
(basé sur 12 avis de lecteurs)
Breezeway
Les poèmes de Breezeway évoluent avec légèreté entre le monde quotidien, avec ses plaisirs et ses absurdités, et les mondes de la littérature et de l'art, avec les leurs. Les poèmes de John Ashbery sont obsédants, surprenants, hilarants et savants.
Ils sont l'œuvre d'un maître ancien et toujours nouveau, qui comprend parfaitement notre époque, ses peurs, sa fragmentation et ses satisfactions. Voici M.
Salteena et la station de métro, le mysticisme moyen anglais démystifié et une samba au rythme particulier, un drugstore, un supermarché, Batman et son chien Pastor Fido, le tout se concluant par « A Sweet Disorder », dans lequel Herrick se transforme de manière décisive : « Pardonnez mon sarong. Je prendrai un Shirley Temple ».
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)