Note :
Les critiques du livre de Germaine Greer « White Beech » reflètent un mélange d'admiration pour son contenu et de critiques virulentes de son style d'écriture. De nombreux lecteurs trouvent le livre inspirant et instructif, appréciant particulièrement la passion de Greer pour la restauration de l'environnement et sa voix unique. Cependant, plusieurs critiques soulignent l'utilisation abondante de jargon scientifique, la narration décousue et le manque d'intérêt pour l'histoire, certains lecteurs se sentant dépassés par les détails techniques et les longues digressions.
Avantages:⬤ Bien écrit et inspirant
⬤ recherches et informations approfondies sur la restauration de l'environnement
⬤ description passionnée de la réhabilitation de la forêt tropicale
⬤ mise en lumière d'importantes questions environnementales
⬤ engageant souvent la voix unique de Greer.
⬤ Utilisation abondante de jargon scientifique
⬤ style d'écriture difficile
⬤ récit décousu manquant d'une histoire claire
⬤ certains lecteurs l'ont trouvé ennuyeux ou trop technique
⬤ manque d'illustrations ou de photos pour compléter le texte.
(basé sur 42 avis de lecteurs)
White Beech: The Rainforest Years
Un beau jour de décembre 2001, Germaine Greer, 62 ans, s'est trouvée confrontée à un défi irrésistible : soixante hectares de ferme laitière, l'une des nombreuses fermes du sud-est du Queensland qui, après un siècle d'exploitation forestière, de défrichement et de dévastation pure et simple, avaient été abandonnées à leur sort.
Elle ne pensait pas une minute qu'en restaurant la terre, elle sauvait le monde. Elle était à la recherche de l'aisance du cœur. Au-delà des hectares de pâturages exotiques et de mauvaises herbes et des rideaux impénétrables de cannes de Lantana enchevêtrées, il y avait des macadamias qui pendaient leurs chapelets de noix pas encore mûres, des haricots noirs dont les branches portaient des fleurs de pois rouges et jaunes... et les quelques hêtres blancs restants, des arbres stupéfiants pouvant atteindre quarante mètres de haut, abattus dans les quarante ans qui ont suivi l'arrivée des premiers colons blancs. Refuser ne serait-ce qu'une faible chance de les ramener dans leurs anciens lieux de vie, c'était se laisser aller au désespoir. Une fois le processus de réhabilitation entamé, cette chance s'est révélée être une certitude absolue. Lorsque les premières replantations ont donné naissance à une forêt et que des chenilles rares sont venues se nourrir des feuilles des jeunes arbres, elle a su sans l'ombre d'un doute qu'au moins ici, la biodégradation pouvait être inversée.
Greer se décrit comme un vieux chien qui a réussi à apprendre un tas de nouveaux tours, inspiré et rajeuni par son amour passionné de l'Australie et de la Terre, la plus exubérante des petites planètes.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)