Note :
Ce livre aborde des questions importantes concernant la rémunération des PDG et ses effets négatifs sur l'économie et la classe moyenne américaine. Il fournit une analyse claire et convaincante des problèmes liés à la gouvernance d'entreprise et à la complaisance des actionnaires, illustrant la manière dont ces facteurs créent des inégalités économiques et des incitations perverses. L'écriture est accessible, rendant des concepts économiques complexes compréhensibles pour un large public.
Avantages:Sujet opportun et important qui résonne avec les questions économiques actuelles.
Inconvénients:Rédigé de manière claire et convaincante, il rend accessibles des idées complexes.
(basé sur 6 avis de lecteurs)
Too Greedy for Adam Smith: CEO Pay and the Demise of Capitalism
-Le livre "Too Greedy for Adam Smith" traite de la façon dont la rémunération incontrôlée des PDG détruit la libre entreprise en Amérique. Si un directeur des achats d'une entreprise louait des bureaux à un cousin ou à un copain à un prix deux fois supérieur à celui du marché, il serait licencié sans hésiter.
Cependant, les accords "coup de cœur" qui seraient contraires à l'éthique dans d'autres secteurs d'activité sont la norme dans le monde de la rémunération des PDG, où des conseils d'administration très conflictuels accordent des rémunérations plusieurs fois supérieures à ce qu'exigerait l'économie de marché normale. -L'ouvrage "Too Greedy for Adam Smith" explique en termes simples qu'il ne s'agit pas seulement d'une économie défectueuse. Elle donne également une mauvaise réputation au capitalisme, car les électeurs voient l'élite des entreprises vivre selon des règles différentes de celles du reste de la population.
En plus de payer les PDG plus qu'ils ne le méritent, cela encourage les entreprises à adopter un comportement qui n'a guère d'autre but économique que d'enrichir la direction et ceux qui la soutiennent à Wall Street. Les rémunérations ponctuelles excessives encouragent les PDG à "jouer la carte de la prudence", de sorte que les méga-opérations qui leur permettent de "prendre l'argent et de s'enfuir" l'emportent sur ce qui est le mieux pour l'entreprise à long terme.
Nous devons rejeter l'idée que les rémunérations excessives des PDG sont un élément normal du capitalisme, de la même manière que nous refusons d'accepter les ententes sur les prix, les détournements de fonds et autres activités corrompues. Les conseils d'administration devraient être avertis que l'approbation de tels accords constitue une violation de leur devoir fiduciaire, et ils devraient être tenus de rendre des comptes par le biais de poursuites intentées par les actionnaires, d'actions de la SEC et de la presse.
Cette question concerne tous ceux - républicains, démocrates, libéraux, conservateurs - qui attachent de l'importance à la libre entreprise et souhaitent la voir maintenue et renforcée.
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)