Note :
Les critiques soulignent que « Thirty Years a Slave » est un récit poignant de la vie d'un esclave, qui illustre à la fois les atrocités de l'esclavage et la résilience de l'esprit humain. Les lecteurs apprécient la prose éloquente et la sincérité de l'auteur, Louis Hughes, tout en reconnaissant le poids émotionnel et l'importance historique de son récit.
Avantages:⬤ Prose éloquente et engageante, surprenante de la part d'un auteur sans instruction.
⬤ Un aperçu authentique des horreurs de l'esclavage.
⬤ Des mémoires captivantes qui personnalisent les expériences historiques.
⬤ Offre une perspective unique, car Hughes est resté objectif, sans malveillance à l'égard de ses ravisseurs.
⬤ L'importance historique de ce livre lui permet d'être utilisé à des fins éducatives.
⬤ Souligne les moments de résilience et d'espoir, en mettant l'accent sur la foi en Dieu.
⬤ Récit bien documenté qui ajoute à son authenticité.
⬤ Le récit peut être émotionnellement douloureux et profondément dérangeant à certains moments.
⬤ Certains lecteurs ont trouvé qu'il manquait des descriptions détaillées des emplois spécifiques dans les plantations.
⬤ Quelques-uns ont mentionné qu'il pouvait être bref au point de prêter à confusion sur certains contextes historiques.
⬤ Le livre peut être considéré comme cher pour un petit volume.
(basé sur 91 avis de lecteurs)
Thirty Years a Slave
Je suis né en Virginie, en 1832, près de Charlottesville, dans la belle vallée de la rivière Rivanna. Mon père était un homme blanc et ma mère une négresse, l'esclave d'un certain John Martin.
Je n'étais qu'un enfant, probablement pas plus de six ans, si je me souviens bien, lorsque ma mère, mes deux frères et moi-même avons été vendus au Dr Louis, un médecin pratiquant dans le village de Scottsville. Nous sommes restés avec lui environ cinq ans, lorsqu'il est mort et, lors du règlement de sa succession, j'ai été vendu à un certain Washington Fitzpatrick, un commerçant du village.
Il m'a gardé peu de temps, puis m'a emmené à Richmond, en bateau-canal, dans l'espoir de me vendre ; mais comme le marché était morose, il m'a ramené et m'a gardé encore trois mois, lorsqu'il m'a dit qu'il m'avait engagé pour travailler sur un bateau-canal allant à Richmond, et qu'il fallait que j'aille voir ma mère et que je prépare mes vêtements pour partir en voyage. Je me rendis chez elle comme il me l'avait demandé et, lorsqu'elle eut préparé mon baluchon, elle me dit au revoir, les larmes aux yeux, en disant : "Mon fils, sois un bon garçon : "Mon fils, sois un bon garçon, sois poli avec tout le monde et conduis-toi toujours correctement.
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)