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Tragedy, Ecstasy, Doom, and so on
Ces poèmes sont une mesure de l'espoir et de l'effroi, un recueil qui nous montre la belle photographie lumineuse, puis la place à côté de son négatif photographique sombre et inquiétant. Dans ces poèmes, nous voyons, par exemple, Salvador Dali aller travailler dans un bureau. Le discours qui découle de ces efforts est rédempteur, même s'il n'apporte pas de réponses. Ces poèmes intriguent par leur questionnement sur la condition humaine, un état quelque part entre l'esprit et l'étranger. Alors que les poèmes passent facilement à l'art et à la vie de Mark Rothko, le discours se poursuit, mais sous la forme de couleurs, de juxtapositions, guidant notre compréhension de la toile à l'âme. En somme, les poèmes restent fidèles à l'exploration d'une intuition initiale et profonde : L'autre homme que je suis.
-Alberto R os.
Le premier recueil complet de poèmes de Kip Knott est attendu depuis vingt ans, années pendant lesquelles je n'ai cessé d'admirer ses vers uniques et provocateurs. Bonne nouvelle : Tragedy, Ecstasy, Doom, etc. est arrivé, et il arrive à point nommé. Ces poèmes sont matures, tendus, curieux, masculins dans le meilleur sens du terme, à la croisée de l'énigme et de la sagesse, du regret et de la gratitude. Malgré toute la vivacité de ce livre, il y a ici un calme qui surprend, une noirceur dans ses paysages, les sons d'une vie vécue pleinement et de manière réfléchie qui nous obligent à y prêter attention. Qui aurait cru que l'extase pouvait être si terrible, et le malheur si amusant ? D'autres bonnes nouvelles : Une toute nouvelle génération d'amateurs de poésie peut désormais le découvrir.
-Gaylord Brewer.
Si les passions de Mark Rothko donnent son titre au premier recueil complet de Kip Knott, Tragedy, Ecstasy, Doom, et ainsi de suite, les poèmes eux-mêmes sont taillés dans un langage solide comme la statuaire et d'une sagesse alléchante comme les koans. À travers les frustrations du temps qui passe, la prophétie aiguë de l'art et la roue visionnaire de la perception, nous pourrions parler ou dormir à côté de notre moi passé ou futur, ou finalement arriver à "l'inévitable/la clairière dans les bois" où l'équilibre signifie la fin, "l'espace vierge de votre vie/qui s'étend jusqu'à l'infini".
-Lisa Lewis.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)