Note :
Le livre « The Self-Help Myth » du professeur Kohl-Arenas explore les complexités de la philanthropie et son impact sur l'organisation des communautés de base. À travers des études de cas détaillées, il critique les mythes qui entourent la philanthropie et plaide en faveur de la reconnaissance des solutions inhérentes aux communautés concernées. Si certains lecteurs saluent la rigueur de l'analyse et les implications pratiques, d'autres trouvent le contenu dense et difficile et estiment qu'il n'est pas présenté de manière efficace.
Avantages:⬤ Excellente recherche et analyse
⬤ fournit des informations concrètes
⬤ remet en question les mythes philanthropiques
⬤ pertinent et stimulant
⬤ accessible à un large public, y compris les organisateurs locaux et les critiques sociaux
⬤ magnifiquement écrit et argumenté de manière convaincante.
⬤ Contenu très dense destiné à un public universitaire
⬤ certains lecteurs l'ont trouvé peu agréable
⬤ critiques sur la capacité de l'auteur à présenter une pensée critique de manière efficace
⬤ certains estiment que l'ouvrage ne vaut pas son prix.
(basé sur 5 avis de lecteurs)
The Self-Help Myth, 1: How Philanthropy Fails to Alleviate Poverty
La philanthropie peut-elle réduire les inégalités ? Les programmes de lutte contre la pauvreté sont-ils efficaces sur le terrain ? Dans cette analyse révélatrice, Erica Kohl-Arenas examine en profondeur la façon dont ces questions se posent dans la vallée centrale de la Californie, l'une des régions de production agricole les plus riches du monde, qui abrite également les populations les plus pauvres des États-Unis. À travers un ensemble provocateur d'études de cas, The Self-Help Myth révèle comment la philanthropie maintient les systèmes d'inégalité en attirant l'attention sur le comportement des pauvres tout en détournant l'attention des inégalités structurelles et des relations de pouvoir qui produisent la pauvreté.
Dans le comté de Fresno, par exemple, où l'industrie agricole représente plus de 5,6 milliards de dollars, les travailleurs agricoles migrants dépendent fortement des banques alimentaires, des organisations religieuses et des réseaux familiaux pour nourrir et habiller leurs familles. Les professionnels des fondations adoptent des stratégies bien intentionnées et pleines d'espoir pour améliorer la vie des pauvres.
Ces stratégies contiennent des idées spécifiques - dans la terminologie philanthropique, des « théories du changement » - qui s'appuient sur les idéaux américains traditionnels d'individualisme et de travail acharné, tels que l'auto-assistance, la participation civique et la prospérité mutuelle. Mais lorsqu'ils sont utilisés en partenariat avec des limites bien définies sur ce que les fondations financeront ou non, ces idéaux deviennent des concepts flous qui favorisent des comportements professionnels et institutionnels qui ne touchent pas aux relations de pauvreté et d'inégalité.
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)