Note :
Ce livre raconte de manière captivante l'expérience d'un jeune homme qui a grandi en étant homosexuel dans l'Angleterre des années 1950 et 1960, et donne un aperçu des luttes de la communauté LGBTQ+ à cette époque. Si de nombreux lecteurs apprécient la franchise du récit et le contexte historique, d'autres critiquent le caractère décousu de la narration et le manque d'édition.
Avantages:⬤ Document historique important sur la vie des homosexuels.
⬤ Récit franc et captivant.
⬤ Anecdotes intéressantes sur des personnages notables.
⬤ Une lecture rapide et facile qui restitue l'esprit de l'époque.
⬤ Offre un aperçu des luttes de la communauté LGBTQ+.
⬤ Récit décousu et mal organisé.
⬤ Manque de profondeur et de cohérence dans la narration.
⬤ Problèmes occasionnels d'orthographe et d'édition.
⬤ Certains lecteurs l'ont trouvé complaisant et peu engageant.
⬤ Les anecdotes ne sont pas toutes explicites ou significatives.
(basé sur 20 avis de lecteurs)
The Naked Tuck Shop - Growing up gay in the 1950s
The Naked Tuck Shop est un témoignage unique sur une période bien antérieure à la légalisation de la "gaieté" sous toutes ses formes au Royaume-Uni. Ces mémoires sur la navigation d'un lycéen des années 1950 à travers son homosexualité naissante lèvent le voile sur sa découverte d'un vaste monde clandestin - qui s'étendait des membres du parlement aux chauffeurs de camion sur longue distance.
Une rencontre fortuite avec deux artistes locaux lors d'un séjour dans un chalet a été le tremplin vers le demimonde de Soho, avec la Colony Room de Muriel Belcher et des personnages tels que Francis Bacon, Angus Wilson et Tom Driberg. Son amitié avec Dudley, évêque de Colchester, l'a amené à rencontrer des ecclésiastiques douteux et Margery Allingham, la reine des écrivains de romans policiers.
L'auteur suggère que le "cottage", bien avant l'arrivée de lieux légaux comme les pubs et les discothèques gays, était le seul endroit où s'amuser pour un adolescent mineur de province. Dans une Grande-Bretagne contemporaine privée de "commodités publiques", il est facile d'oublier leur omniprésence à l'époque. À la fin de l'ère victorienne, la brigade du "dépenser un penny" avait décrété la construction de ces merveilles municipales dans tout le pays, et heureusement pour elle, les dignes bourgeois locaux avaient veillé à ce que Colchester soit bien dotée.
Parallèlement à ses premières aventures dans la "société queer", Tim Hughes se souvient avec affection d'un groupe d'amis d'école talentueux, et de la façon dont certains d'entre eux, qui étaient également des amis de Dorothy, ont vu leur vie écourtée par l'arrivée de la peste gay.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)