Note :
Le livre « The China Nexus » de Benedict Rogers présente une exploration détaillée des pratiques oppressives du parti communiste chinois et de son impact sur la liberté humaine, en s'appuyant sur les expériences personnelles de l'auteur. Si de nombreux lecteurs ont salué l'ouvrage pour son analyse perspicace et son style engageant, d'autres l'ont critiqué pour sa partialité excessive et son incapacité à fournir une vision équilibrée de la situation en Chine.
Avantages:Le livre est bien écrit, captivant et informatif, et constitue une introduction claire au climat politique actuel de la Chine. Il est considéré comme une lecture essentielle pour ceux qui souhaitent comprendre l'influence mondiale du PCC et les violations des droits de l'homme en Chine. Plusieurs lecteurs ont apprécié le point de vue personnel de l'auteur et son engagement profond en faveur de la liberté.
Inconvénients:Les critiques affirment que le livre présente un récit unilatéral et partial, manquant de contexte et de nuances quant à la complexité de la situation à Hong Kong et en Chine. Certains lecteurs ont estimé qu'il brossait injustement un tableau négatif de la Chine tout en ignorant les développements positifs ou les perspectives qui existent. Le manque d'équilibre peut induire en erreur ceux qui ne sont pas familiarisés avec le sujet.
(basé sur 11 avis de lecteurs)
The China Nexus Thirty Years in and Around the Chinese Communist Party's Tyranny
Benedict Rogers, né à Londres, en Angleterre, s'est rendu pour la première fois en Chine à l'âge de 18 ans pour enseigner l'anglais pendant six mois à Qingdao (1992), trois ans après le massacre de la place Tiananmen. Cela lui a ouvert les portes d'une aventure de trente ans avec la Chine, depuis l'enseignement de l'anglais dans les écoles et les hôpitaux jusqu'au travail de journaliste à Hong Kong pendant les cinq premières années qui ont suivi la rétrocession, en passant par les voyages aux frontières de la Chine avec le Myanmar/Birmanie et la Corée du Nord pour documenter le sort des réfugiés fuyant les dictatures satellites soutenues par Pékin, puis par la campagne pour les droits de l'homme en Chine, en particulier pour les Ouïghours, les chrétiens et les adeptes du Falun Gong, les défenseurs des droits de l'homme, les journalistes et les dissidents, ainsi que les habitants de Hong Kong.
Ce livre raconte l'histoire de son combat pour la liberté des peuples de Chine et des pays voisins, le Myanmar et la Corée du Nord, et explique comment un mouvement mondial pour les droits de l'homme en Chine est en train d'émerger et ce que le monde libre devrait faire à l'avenir. Il décrit l'importance du "Nexus chinois" dans le parcours de l'auteur, ainsi que la géopolitique et ses défis. Pionnier des enquêtes internationales sur le prélèvement forcé d'organes sur les prisonniers de conscience, le génocide des Ouïghours et l'action mondiale pour Hong Kong, ainsi que de la mise en évidence du silence du Vatican, l'auteur a été au cœur de la défense des droits de l'homme en Chine au cours des dernières années.
En 2017, sur ordre de Pékin, il s'est vu refuser l'entrée à Hong Kong, 20 ans après s'être installé dans la ville et avoir commencé sa vie professionnelle en tant que journaliste et activiste. Benedict Rogers a cofondé Hong Kong Watch et a travaillé avec divers autres groupes internationaux à la pointe de la lutte pour la liberté, notamment l'Alliance interparlementaire pour la Chine (IPAC), la campagne Stop Uyghur Genocide, la China Democracy Foundation, la Commission des droits de l'homme du Parti conservateur qu'il a cofondée, et l'organisation internationale de défense des droits de l'homme CSW avec laquelle il a travaillé pendant plus de 25 ans.
Ce livre frappe durement le parti communiste chinois pour son manque d'efficacité en matière de droits de l'homme, ses génocides et ses programmes barbares et ignobles de prélèvement d'organes (une activité estimée à 1 milliard de dollars américains par an).
Rogers emmène le lecteur à la découverte de quelques-uns des dirigeants et des participants aux activités de défense des droits de l'homme que la Chine a supprimées depuis sa création en 1949. Il conteste ensuite toutes les affirmations spécieuses des tyrans de Pékin selon lesquelles tous les citoyens chinois sont égaux et jouissent des droits de l'homme et des droits civils. Actuellement, le régime se livre à la rééducation, à l'assimilation culturelle et à de multiples génocides, ce qui, si l'on en croit les autorités chinoises, se traduit par de meilleurs citoyens pour la Chine et pour le monde.
L'ambassadeur de Chine au Canada affirme que les rapports sur le génocide et le travail forcé des musulmans ouïghours dans la province du Xinjiang sont le "mensonge du siècle", bien que des organismes internationaux tels que les Nations unies jugent les rapports sur ces activités "nombreux et crédibles".
L'auteur dissipera complètement cette idée.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)