Note :
Le livre « Remembering the Year of the French » de Beiner propose une analyse approfondie du folklore entourant la campagne franco-irlandaise de 1798, soulignant l'importance des traditions orales et de la mémoire sociale dans la compréhension du passé de l'Irlande. Bien qu'il soit loué pour son érudition et son caractère inclusif, il est critiqué par certains comme étant trop axé sur les études folkloriques au détriment d'une narration historique plus large.
Avantages:⬤ Excellente recherche sur le folklore et la mémoire sociale
⬤ offre une vision plus inclusive du passé de l'Irlande
⬤ propose des études de cas détaillées sur les traditions orales
⬤ élargit l'appréciation de la rébellion de 1798
⬤ contenu accessible et pouvant être enseigné.
⬤ Perçu comme trop axé sur les études folkloriques plutôt que sur l'analyse historique
⬤ peut sembler désorganisé pour les lecteurs non universitaires
⬤ manque de recherche originale
⬤ principalement utile pour les universitaires spécialisés dans le folklore et les historiens spécifiques.
(basé sur 2 avis de lecteurs)
Remembering the Year of the French: Irish Folk History and Social Memory
From Rebellion to Riots est une analyse critique des racines de la violence contemporaine dans l'une des provinces indonésiennes les plus hétérogènes sur le plan ethnique, le Kalimantan occidental. Depuis la fin des années 1960, cette province a connu des flambées périodiques de violence ethnique parmi ses populations Dayak, Malais, Madurais et Chinois. S'appuyant sur les résultats de ses recherches, sur des documents militaires internes et sur des récits ethnographiques, Jamie S. Davidson réfute les explications courantes de ces flambées. La violence récurrente a moins à voir avec un choc des cultures, les maux du développement induit par le Nouvel Ordre ou la marginalisation des autochtones qu'avec la politisation permanente de l'identité ethnique et autochtone dans la région. En examinant des moments historiques clés, très différents les uns des autres, Davidson révèle les liens importants qui existent entre la violence ethnique et la politique subnationale. Dans un cas, les officiers de l armée du nouveau régime de Soeharto ont encouragé les sentiments anti-chinois. Pour lutter contre une rébellion d'inspiration communiste, ils ont recruté des indigènes Dayaks pour expulser des dizaines de milliers de Chinois des villes et villages de l'intérieur. Cette effusion de sang contre-insurrectionnelle a involontairement déclenché une série d'affrontements entre les Dayaks et les Madurese, une autre communauté de migrants.
Stimulées par un mouvement d'autonomisation des autochtones et par les efforts des élites locales pour contrôler les avantages offerts par la décentralisation et la démocratisation, ces émeutes de faible intensité ont pris d'immenses proportions à la fin des années 1990. De la rébellion aux émeutes démontre que la violence endémique dans cette vaste région n'est pas le résultat inévitable de sa diversité ethnique, et révèle que l'impulsion initiale de l'effusion de sang collective n'est pas nécessairement la même que les forces qui la soutiennent.
Une étude de cas complète.... Une lecture essentielle pour les étudiants qui s'intéressent à la violence dans le Kalimantan occidental. Dave McRae, Indonésie ".
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)