Note :
Le livre « Please Don't Eat the Daisies » de Jean Kerr est un recueil d'essais humoristiques sur la vie en banlieue, la maternité et l'écriture, faisant preuve d'un esprit intemporel qui résonne même des décennies après sa première publication. Les lecteurs ont apprécié sa légèreté et son charme nostalgique, malgré un contenu quelque peu daté.
Avantages:Le livre est très drôle et agréable, avec un humour intemporel qui plaît à de nombreux lecteurs. Il offre une perspective rafraîchissante sur la maternité et la vie en banlieue, avec des observations intelligentes et des références littéraires. De nombreux lecteurs se souviennent avec émotion de leurs lectures précédentes et apprécient son caractère divertissant, le trouvant racontable malgré son âge. L'écriture est louée pour son esprit et son intelligence.
Inconvénients:Certains lecteurs trouvent que le contenu est dépassé et qu'il n'est pas adapté à la vie moderne, en particulier lorsqu'il est considéré sous l'angle de la richesse et des différentes normes culturelles. Quelques-uns mentionnent que l'humour peut s'estomper s'il est lu d'une traite, et que tous les essais n'ont pas la même résonance pour tous les lecteurs. La version ebook ne comporte pas d'index, ce qui constitue un inconvénient pour certains.
(basé sur 25 avis de lecteurs)
Please Don't Eat the Daisies
Le best-seller « rafraîchissant... à mourir de rire » du New York Times sur la vie en banlieue qui a été adapté en une comédie cinématographique classique ( Kirkus Reviews ).
Un jour, la dramaturge Jean Kerr, lauréate d'un Tony Award, a emballé ses quatre enfants (et son mari, Walter, l'un des critiques les plus acerbes de Broadway) et a quitté New York. Ils ont déménagé dans une région éloignée du monde qui promettait une utopie herbeuse où les marguerites poussaient à l'état sauvage et où les maisons étaient décrites comme du néo-pain d'épices. Dans ce recueil d'essais « ironiquement observateurs », Kerr fait la chronique de sa nouvelle vie dans ce pays étrange appelé Larchmont ( The Washington Post ).
C'est le bonheur : fini les appartements exigus et les cocktails cauchemardesques après le théâtre, où les martinis n'étaient jamais assez secs. Maintenant, elle a son propre lave-linge/sèche-linge, un jardin, des places de choix dans les nouvelles pièces de théâtre les plus en vogue de l'école du troisième degré (les frais généraux sont peu élevés, mais ils ne récupéreront jamais leurs pertes), et un nouveau genre de folie.
Dans Please Don't Eat the Daisies, « Jean Kerr cuisine au gaz hilarant » en explorant les absurdités, les angoisses et les joies quotidiennes du mariage, de la famille, des amis, de la décoration intérieure et du maintien d'une carrière, mais cette fois-ci avec un garage ! ( Time ).
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)