Note :
Les critiques présentent un point de vue mitigé sur le livre de Paul Rabbits consacré au parc de Richmond. Alors qu'un des critiques le qualifie d'excellent et d'instructif, les autres lui reprochent d'être ennuyeux et de manquer de qualité littéraire.
Avantages:⬤ Informatif et détaillé
⬤ bonnes photos dans la version papier
⬤ très recommandé par un critique.
Considéré comme ennuyeux par plusieurs critiques ; décrit comme une collection de matériel de recherche avec peu de valeur littéraire.
(basé sur 5 avis de lecteurs)
Richmond Park - From Medieval Pasture to Royal Park
Richmond Park est le plus grand parc royal de Londres, couvrant une superficie de 2 500 acres. De ses hauteurs, on a une vue ininterrompue sur la cathédrale Saint-Paul, située à 12 miles de là.
Les liens royaux avec ce parc remontent probablement plus loin que tous les autres, à commencer par Édouard Ier au XIIIe siècle, lorsque la région était connue sous le nom de Manoir de Sheen. Le nom a été changé en Richmond sous le règne d'Henri VII. En 1625, Charles Ier fit venir sa cour au palais de Richmond pour échapper à la peste qui sévissait à Londres et transforma le palais en parc pour les cerfs et les daims.
Sa décision, en 1637, d'enclore le terrain n'a pas été appréciée par les résidents locaux, mais il a accordé un droit de passage aux piétons. Les murs subsistent encore aujourd'hui.
En 1847, Pembroke Lodge devint la résidence du Premier ministre de l'époque, Lord John Russell, et fut plus tard la maison d'enfance de son petit-fils, Bertrand Russell. Cependant, le parc de Richmond émerge de son histoire comme un lieu qui a connu de nombreux changements dans sa structure et ses détails, tout en restant l'incarnation d'un parc à cerfs médiéval.
C'est un palimpseste qui conserve des indices subtils de chaque période de son histoire.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)