Dreaming Ecology: Nomadics and Indigenous Ecological Knowledge, Victoria River, Northern Australia
Selon les propres termes de l'auteur, Dreaming Ecology « explore une compréhension holistique des interconnexions entre les personnes, les pays, les liens de parenté, la création et le monde vivant dans un contexte de mobilité. Implicitement, il pose la question de savoir comment les gens ont pu vivre de manière aussi durable pendant si longtemps ». Il propose une critique éloquente de la perte de vies indigènes, humaines et non humaines, dans le sillage du colonialisme blanc et de la transformation de la région en « pays de bétail ». Il offre une nouvelle perspective sur le nomadisme, fondée sur « l'épistémologie de la marche » et « une éthique du retour soutenue par différentes espèces, différents événements, différentes pratiques et différentes échelles ».
Il s'agit de la dernière et de la plus importante des lettres d'amour de Debbie au peuple aborigène des Victoria River Downs. Je dis cela parce qu'il y a un tel sentiment de révérence, d'émerveillement et de respect tout au long du livre. L'introduction des concepts de double mort, d'épistémologie de la marche, de pays sauvage... ne sont pas seulement des idées organisatrices, mais des caractérisations découlant de ce que Debbie entend, voit et ressent d'elle-même et des autres Aborigènes... J'y pense en termes d'amour, si l'amour est l'attention, le respect réciproque, la connectivité profonde et un fort désir de ne jamais faire moins bien que les personnes avec lesquelles elle a choisi de s'engager ».
-Richard Davis.
Ce livre a été un plaisir à lire, rempli de descriptions minutieuses de personnes, de lieux, de plantes et d'animaux divers, et d'une analyse perspicace des modèles et des engagements qui les maintiennent ensemble dans le monde ».
-Tom van Dooren.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)