Note :
Les lecteurs apprécient la perspicacité avec laquelle James K. A. Smith aborde des thèmes philosophiques complexes, notamment en ce qui concerne la relativité et la pensée chrétienne. Nombreux sont ceux qui ont trouvé le livre instructif, apportant un éclairage important sur la dépendance, la communauté et le langage, tout en étant accessible aux non-spécialistes. Toutefois, certains évaluateurs ont mentionné que les discussions philosophiques peuvent être difficiles et nécessiter un effort important pour être pleinement comprises.
Avantages:Parmi les points forts de ce livre, citons la profondeur des connaissances sur la dépendance et la communauté, l'accessibilité des idées philosophiques complexes, la pertinence pour l'évangélisme contemporain et les notions novatrices de pragmatisme et de relativisme dans un contexte chrétien. De nombreux lecteurs ont trouvé ce livre à la fois surprenant et instructif.
Inconvénients:Certains ont trouvé le livre difficile à lire en raison des dialogues et des concepts philosophiques, qui peuvent être difficiles à assimiler sans connaissances préalables. En outre, certains s'inquiètent du fait que l'adhésion de Smith au relativisme pourrait aliéner certains lecteurs évangéliques plus traditionnels.
(basé sur 14 avis de lecteurs)
Who's Afraid of Relativism?: Community, Contingency, and Creaturehood
Après le succès de Who's Afraid of Postmodernism ?, l'éminent philosophe chrétien James K. A. Smith présente les sources philosophiques qui sous-tendent la théologie postlibérale. Proposant une analyse provocante du relativisme, Smith fournit une introduction aux voix clés du pragmatisme : Ludwig Wittgenstein, Richard Rorty et Robert Brandom.
De nombreux chrétiens considèrent le relativisme comme l'antithèse de la vérité absolue et l'assimilent à l'antithèse de l'Évangile. Smith soutient que cette réaction est le symptôme d'un problème théologique plus profond : l'incapacité d'honorer la contingence et la dépendance de notre créature. Apprécier la finitude de notre création comme la condition dans laquelle nous connaissons (et avons été faits pour connaître) devrait nous obliger à apprécier la contingence de notre connaissance sans glisser vers l'arbitraire. Dire "ça dépend" n'équivaut pas à dire "ce n'est pas vrai" ou "je ne sais pas". Il s'agit simplement de reconnaître les conditions de notre connaissance en tant qu'êtres finis, créés et sociaux. Le pragmatisme, dit Smith, nous aide à retrouver une appréciation chrétienne fondamentale de la contingence de la créature.
Cet ajout à une série acclamée fait appel à des penseurs clés de la philosophie moderne dans une perspective ministérielle et aborde le défi du relativisme d'une manière créative et originale.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)