Avis des lecteurs
Résumé:Les critiques de l'ouvrage présentent un mélange d'appréciation et de critique. De nombreux lecteurs ont trouvé le livre agréable et instructif, en particulier pour ceux qui ont un héritage scandinave. La structure de l'ouvrage, avec ses chapitres courts et ses comparaisons culturelles, a également été saluée. Toutefois, certains lecteurs ont exprimé leur mécontentement quant à la représentation de la culture norvégienne et ont critiqué l'auteur pour ce qu'ils ont perçu comme un sentiment de supériorité et d'arrogance chez les Norvégiens.
Avantages:⬤ Expérience de lecture agréable, en particulier pour les personnes d'origine scandinave
⬤ informatif sur la culture norvégienne actuelle
⬤ chapitres courts et succincts
⬤ bon pour un voyage en fauteuil roulant
⬤ relie les expériences passées et présentes.
⬤ Perçu comme manquant de profondeur et de valeur
⬤ certains passages donnent l'impression d'être suffisants
⬤ critique des contributions norvégiennes à la culture et à l'humanité
⬤ préoccupations concernant la promotion du nationalisme et de la supériorité ethnique.
(basé sur 4 avis de lecteurs)
Titre original :
For the Love of Cod: A Father and Son's Search for Norwegian Happiness
Contenu du livre :
Un voyage à la recherche du bonheur supposé de la Norvège donne lieu à un récit de voyage comique qui pose sérieusement la question de savoir ce qui rend les Norvégiens si heureux - et si cela se traduit par une traduction.
La Norvège figure généralement en tête du rapport sur le bonheur dans le monde. Mais est-elle vraiment l'un des pays les plus heureux de la planète ? Eric Dregni en doutait. Il y a des années, lui et sa femme ont vécu dans ce pays que son arrière-arrière-grand-père avait fui. À la naissance de leur fils Eilif, le gouvernement norvégien a pris en charge l'accouchement, leur a donné 5 000 dollars et a déposé 150 dollars sur leur compte bancaire chaque mois. Mais le bonheur ne se résume pas à un généreux système de santé. Qu'en est-il de tous ces mois sans soleil ? Lorsque Eilif a eu quinze ans, père et fils ont décidé de repartir ensemble et d'enquêter. Pour l'amour de la morue est leur rapport drolatique sur l'état de la prétendue félicité norvégienne.
Arrivés en mai, mois des fêtes et du soleil éternel, les Dregnis sont plongés dans la Norvège la plus joyeuse, mais aussi dans la réalité du coût astronomique de la vie, qui les oblige à se loger chez des amis et des parents. Mais cela leur permet de découvrir de l'intérieur les secrets d'une vie meilleure. Ce ne sont pas les énormes quantités d'argent provenant des champs pétrolifères de la mer du Nord, mais la manière dont ces fonds sont distribués qui alimente la version norvégienne du socialisme démocratique, ce qui se traduit par des différences minimes entre les riches et les pauvres. Les habitants de la région leur présentent les principes qui sous-tendent leur satisfaction déclarée, d'un environnementalisme actif qui se traduit par le flyskam (la honte du vol), qui maintient les Norvégiens dans le chalet familial pendant les longues vacances prescrites par la loi et impose une taxe de 150 % sur les véhicules énergivores (ce qui, selon Eilif, signifie que l'on voit plus de Teslas en une heure qu'en un an dans le Minnesota ! ).
De la passion pour le dugnad (bénévolat communautaire) et le sakte (lenteur), un rejet du rythme effréné de la modernité, à la marchandisation de l'histoire des Vikings et au côté sombre de la musique Black Metal qui bouleverse l'idée d'une Norvège pittoresque et traditionnelle, cette visite idiosyncrasique du père et du fils permet aux lecteurs, sans flyskam, de voir comment, ou si, le bonheur norvégien peut se traduire.
Autres informations sur le livre :
| ISBN : | 9781517908935 |
| Auteur : | |
| Éditeur : | |
| Reliure : | Relié |
| Année de publication : | 2021 |
| Nombre de pages : | 200 |
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