Note :
Les critiques soulignent que la biographie de Robert L. Lippert par Mark Thomas McGee est une étude bien documentée et captivante d'une figure influente de l'industrie du cinéma de série B. Le premier tiers de l'ouvrage présente une biographie détaillée, tandis que le reste est une filmographie annotée des œuvres de Lippert. Le premier tiers du livre est une biographie détaillée, tandis que le reste est une filmographie annotée des œuvres de Lippert. Les lecteurs apprécient l'humour et les aperçus des coulisses, ainsi que l'exhaustivité de la filmographie. Cependant, certains trouvent que les résumés des films manquent et expriment le souhait d'un contenu plus détaillé dans certains domaines.
Avantages:Biographie bien documentée, style d'écriture attrayant, filmographie détaillée et annotée, anecdotes humoristiques et informatives sur les coulisses, une ressource précieuse pour les passionnés d'histoire du cinéma, et qui attire l'attention sur une figure largement oubliée du cinéma.
Inconvénients:Manque de brefs résumés pour les films individuels dans la filmographie, certaines zones peuvent contenir des chronologies mélangées, et quelques divergences ont été notées en ce qui concerne les coûts de production.
(basé sur 14 avis de lecteurs)
Talk's Cheap, Action's Expensive - The Films of Robert L. Lippert
Lorsque Spyros Skouras est contraint de démissionner de son poste de commandant en chef de la 20th Century-Fox, Darryl F. Zanuck est persuadé de revenir au studio pour en prendre la direction.
Alors que le studio est au bord du désastre, Zanuck freine tous les projets en cours et licencie à peu près tout le monde. À l'exception d'un seul homme, le seul à travailler pour le studio et à réaliser des films de base, ce qui, à cette époque, était le seul type de films que le studio pouvait se permettre de faire. Cet homme, c'était Robert L.
Lippert.
Robert Lippert, dites-vous ? Jamais entendu parler. Lippert a produit plus de 200 films, adaptés aux exploitants des petites villes qui devaient changer leur programme deux ou trois fois par semaine.
Et ils l'aimaient pour cela. Le propriétaire d'un cinéma du Kansas, Bill Leonard, a dit à ses collègues exploitants de cinéma de "s'aligner sur ces films de Lippert et vous et vos clients serez heureux". Et alors ? Je n'ai toujours pas entendu parler de lui.
Avez-vous déjà entendu parler de James Clavell, l'auteur de Shogun ? Ou d'Andrew McLaglen, le réalisateur de McLintock ? Ou Sam Fuller, le réalisateur de Pickup on South Street ? Ce ne sont là que quelques-unes des personnes qui ont fait leurs premiers pas dans le monde du cinéma grâce à Lippert. Et si aucun de ces noms ne vous dit rien, avez-vous déjà entendu parler de La mouche (1958) ? C'est Lippert qui l'a réalisé. Son nom n'y figure pas, mais il l'a tout de même produit.
Ce livre est consacré à l'homme qui a été abandonné comme un sac de linge sur les marches d'un orphelinat. Il y est question de sa bataille avec la Screen Actors Guild, de son mariage houleux et, bien sûr, de ses films.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)