Note :
Dans l'ensemble, « Ooga-Booga » de Frederick Seidel a reçu des commentaires extrêmement positifs pour son style unique, son imagerie puissante et son humour noir. Le recueil est salué pour son traitement des questions contemporaines avec une irrévérence rafraîchissante, bien que certains lecteurs aient trouvé certains poèmes trop nerveux ou juvéniles dans leur approche. La capacité de Seidel à évoquer des réponses émotionnelles fortes et à remettre en question les normes poétiques traditionnelles se démarque, faisant de ce recueil une expérience mémorable pour beaucoup.
Avantages:Les poèmes sont vifs, intenses et capables d'évoquer des réactions émotionnelles. L'humour noir et l'irrévérence de Seidel le distinguent des poètes contemporains. L'écriture est facilement accessible et divertissante, avec des sujets engageants. De nombreux lecteurs apprécient sa remise en question de la pensée traditionnelle et des normes sociétales.
Inconvénients:Certains lecteurs estiment que certains poèmes tentent trop d'être avant-gardistes et peuvent paraître juvéniles. Quelques-uns ont trouvé que l'œuvre manquait de substance par rapport à leurs attentes basées sur d'autres poèmes acclamés. Tous les lecteurs ne sont pas sensibles à l'humour ou ne trouvent pas les thèmes abordés attrayants, surtout s'ils sont facilement offensés.
(basé sur 11 avis de lecteurs)
"Le meilleur poète américain écrivant aujourd'hui »*
« Le titre lui-même - une parodie de menace, quelque chose que le monstre sous le lit pourrait grogner - parvient à capturer l'étrange dialectique de la comédie noire de M. Seidel : il est effrayant, mais drôle, et toujours effrayant... Il faudrait remonter aux maîtres de la confession comme Lowell et Berryman pour trouver une poésie aussi audacieusement révélatrice d'elle-même, aussi risquée et convaincante que les meilleurs poèmes de Frederick Seidel. --*Adam Kirsch, The New York Sun.
« Les poèmes de Ooga-Booga sont les plus riches de Seidel et se lisent comme personne d'autre : Ils sont surréalistes sans être particulièrement difficiles, et tout à fait sans prétention, imprégnés de la solitude américaine particulière de Raymond Chandler... (Le poème 'Barbados') est le plus beau que Seidel ait écrit à ce jour, et il a perfectionné les rythmes subtils et les rimes qui font avancer les strophes comme sa Ducati 916 SPS. Si je peux penser à un livre de poèmes plus sympathique, je peux difficilement en imaginer un meilleur ». --Alex Halberstadt, New York magazine.
« Ooga-Booga est aussi fascinant et magistral que tout ce que Seidel a écrit. Je n'arrive pas à décider si Seidel a plus en commun avec Philip Larkin ou John Ashbery, mais le fait qu'il puisse susciter une question aussi bizarre est plus révélateur que toute réponse possible ». --Joel Brouwer, The New York Times Book Review.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)