Note :
Le dernier recueil de poèmes de Marge Piercy est salué pour sa profondeur émotionnelle, sa clarté et ses thèmes perspicaces concernant l'amour, le vieillissement et les questions de société. Les lecteurs apprécient la franchise, l'humour et la capacité de Marge Piercy à réfléchir sur ses expériences personnelles et politiques. Le recueil trouve un écho auprès des fans, anciens et nouveaux, en mettant en lumière à la fois l'autonomisation personnelle et les expériences universelles.
Avantages:Le recueil contient des poèmes émouvants et accessibles qui abordent les thèmes de l'amour, du vieillissement, du deuil et des questions politiques. Le langage clair et la voix personnelle de Piercy touchent une corde sensible chez les lecteurs. Nombreux sont ceux qui apprécient son humour et son honnêteté, ainsi que sa capacité à susciter des réactions émotionnelles profondes à travers son œuvre. La collection est considérée comme une source d'autonomie et continue d'inspirer les lecteurs, toutes générations confondues.
Inconvénients:Certains lecteurs pourraient trouver que la combinaison de divers sujets dans les poèmes est parfois un peu décousue. Il peut également y avoir un sentiment de nostalgie qui ne résonne pas avec tous les lecteurs, en particulier ceux qui ne sont pas familiers avec les œuvres antérieures de Piercy. Dans l'ensemble, les critiques sont minimes et se concentrent plutôt sur les points forts du recueil.
(basé sur 16 avis de lecteurs)
On the Way Out, Turn Off the Light: Poems
Un groupe de poèmes généreux - directs, honnêtes et révélateurs - qui réfléchissent sur le langage, la nature, la vieillesse, l'amour jeune, le judaïsme et notre politique actuelle, par l'une de nos poètes les plus lues et les plus admirées.
« Les mots sont mon affaire », déclare Marge Piercy au début de son vingtième recueil de poèmes, un regard sur une vie passée à apprendre, à aimer, à pleurer et à se battre pour les laissés-pour-compte, et un regard sur ce que l'avenir lui réserve, à elle, à sa famille et à ses amis, ainsi qu'à son pays en difficulté. Dans la première partie, Piercy raconte son enfance à Detroit, avec ses terrains vagues et ses enfants chenus, le vélo qui lui a donné des ailes, son ambition à quatorze ans de « gober » toutes les connaissances, et un mariage trop précoce (« J'ai mis mon premier mariage / comme une gaine dont mon corps maigre / n'avait pas besoin »). Nous sautons ensuite dans le présent, sa « zone crépusculaire », où elle « apprend à se taire », à faire l'éloge malgré tout. Il y a des poèmes amusants sur les publicités pour les médicaments et leurs avertissements sinistres, ainsi que sur les avantages possibles de la mort : « Je ne ferai plus jamais de lessive... ». Il y a du « réconfort dans les vieux corps / qui se rassemblent », dans la chaleur d'un partenaire - « Tu es toujours chaud : des mains chaudes / un dos lisse comme un chat birman. / Un temps ensoleillé à l'extérieur et à l'intérieur ».
Piercy est depuis longtemps connue pour ses poèmes politiques et nous livre ici ses réflexions sur les immigrés clandestins, les langues en voie de disparition, les paysages difficiles, l'avortement et le langage du président. Elle examine le besoin de fêtes religieuses et de profondeur spirituelle de sa non-croyante, et le monde naturel est apprécié tout au long de l'ouvrage. On the Way Out, Turn Off the Light est une nouvelle preuve de l'amour et de la maîtrise de la langue de Piercy. Il est émouvant, stimulant, drôle et plein de choses de la vie.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)