Note :
Ce livre présente une perspective controversée sur le contrôle de la population et les questions environnementales, suscitant un mélange d'accord et de désaccord parmi les lecteurs. Si certains trouvent que les affirmations de l'auteur donnent à réfléchir, d'autres critiquent la logique et les conclusions tirées.
Avantages:Le livre est révélateur et bien écrit, il aborde un sujet refoulé. Il incite les lecteurs à revoir leur point de vue sur l'alimentation, l'eau et les interventions médicales. Certains saluent les recherches de l'auteur et l'importance des questions soulevées.
Inconvénients:De nombreux lecteurs trouvent des failles dans les arguments de l'auteur, notamment en ce qui concerne les théories du complot et les motivations qui sous-tendent le contrôle de la population. Certains sont en désaccord avec les solutions proposées et critiquent le fait que l'auteur ne reconnaisse pas les explications alternatives. D'autres trouvent les conclusions absurdes et peu logiques.
(basé sur 12 avis de lecteurs)
Killing Us Softly: The Global Depopulation Policy
Notre philosophie progressiste appelle à plus de liberté et à plus de prospérité pour un plus grand nombre de personnes. Pourtant, l'auteur Kevin Galalae affirme qu'il n'est pas possible d'en avoir toujours plus. La surpopulation fait de nous les victimes de nos propres triomphes sur la nature. Faute d'un consensus populaire pour contrôler la population, l'élite dirigeante a eu recours à des moyens détournés. Leur projet de dépopulation a connu un succès considérable, mais à un prix terriblement élevé. "Le secret et la tromperie ont été nécessaires pour empêcher les masses de découvrir l'amère vérité : depuis 68 ans, elles sont l'objet d'une offensive silencieuse et globale, une campagne d'usure qui a transformé les éléments de base de la vie en armes de stérilité de masse et de mort sélective. "La naissance de près de deux milliards de personnes a été empêchée et la mort d'un demi-milliard a été accélérée. Bien que ces objectifs aient été intentionnels, les architectes de la politique de dépopulation mondiale ont involontairement sapé le patrimoine génétique et intellectuel de l'espèce humaine et ont fait reculer des décennies de sélection naturelle." Nous comptons un milliard d'habitants supplémentaires tous les 10 à 15 ans, alors que la consommation par personne est montée en flèche, exerçant une pression insoutenable sur des ressources telles que l'eau et les carburants. La seule alternative décente est le contrôle volontaire de la population afin de réduire la population mondiale. Voici les méthodes actuellement utilisées. - Contraception et avortement. Stérilisation chimique : Flouridation, emballages alimentaires en plastique et en métal contaminés par le BPA.
Inconvénients : l'augmentation des maladies chroniques et l'abaissement du quotient intellectuel conduiront à une dégénérescence massive en l'espace de quelques générations. - La politique coercitive de l'enfant unique - globalement une réussite pour la Chine ; stérilisation chirurgicale en Inde. - Biologique : virus VIH synthétique en Afrique, virus de la grippe, cultures OGM. Diminution de la fertilité humaine, tout en affaiblissant le système immunitaire pour augmenter la mortalité. - Psychosocial : affaiblissement de la famille, obligation pour les femmes de travailler, taux de divorce élevé, chômage des jeunes, contre-cultures, abus de drogues, de tabac et d'alcool, incarcération, urbanisation accélérée. Succès en Europe où la population a commencé à diminuer. Inconvénients politiques : un État secret qui mène un génocide contre son propre peuple ; une démocratie de façade ; une culture de la tromperie. Mise en danger du patrimoine génétique et de l'écosystème. Malgré tout, cette solution est plus humaine que l'alternative d'une nouvelle guerre mondiale pour réduire le nombre d'individus. Coûts sociaux : déclin économique, effondrement des filets de sécurité sociale. Les politiques de développement durable ne mentionnent pas les risques de stérilisation secrète qui les sous-tendent. "Le contrôle de la population comme substitut à la guerre est le fruit de l'ordre mondial bipolaire qui a suivi la Seconde Guerre mondiale... Les pays ont accepté de mener une guerre démographique contre leur propre population et contre ceux qui se trouvaient dans leur sphère d'influence, plutôt que de risquer leur destruction mutuellement assurée dans une confrontation nucléaire". La voie à suivre : une large compréhension populaire des problèmes.
Pourtant, les politiciens ne veulent pas s'ouvrir à une politique fondée sur le consensus populaire, car cela saperait leur pouvoir, qui repose sur la manipulation. Outre ses écrits, les efforts de l'auteur pour réveiller le monde se sont traduits par des grèves de la faim, des emprisonnements et des batailles juridiques.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)