Note :
Ce livre est un recueil d'essais critiquant l'approche du Canada à l'égard du mariage entre personnes de même sexe, en soutenant que la redéfinition du mariage sape la famille traditionnelle et pose des risques pour la démocratie et le bien-être des enfants. Il examine les dangers potentiels du contrôle de l'État sur la famille et l'éducation, et réfléchit aux implications plus larges pour les libertés individuelles.
Avantages:⬤ Des essais bien écrits et érudits
⬤ des arguments convaincants et compréhensibles par un large public
⬤ souligne l'importance de la famille traditionnelle et son rôle dans la société
⬤ met en évidence les risques d'une ingérence excessive de l'État et d'une perte des libertés individuelles
⬤ fournit une critique respectueuse et forte à la fois.
⬤ Le livre peut être alarmant et effrayant pour les lecteurs
⬤ manque de discussion sur la littérature scientifique relative à l'éducation des enfants
⬤ peut ne pas trouver d'écho chez les partisans du mariage homosexuel
⬤ certaines affirmations concernant le contrôle de l'État peuvent sembler tirées par les cheveux ou exagérément dramatiques.
(basé sur 3 avis de lecteurs)
Nation of Bastards: Essays on the End of Marriage
"Erudit et passionné - un acte de foi et de résistance aux prétentions insidieuses de l'État post-chrétien et post-libéral".
F. C. Decoste, professeur de droit, Université de l'Alberta.
Un brillant exposé des implications du mariage homosexuel - et une analyse convaincante de ce qu'il faudra pour que la société récupère le droit de naissance à la liberté qu'elle a perdu dans une expérience sociale irréfléchie.
Pour certains, le mariage homosexuel est la preuve que la société est enfin arrivée à maturité. Pour d'autres, il s'agit d'une question d'hier, qui ne représente aucun danger pour le mariage traditionnel. Pour d'autres encore, dont Douglas Farrow de l'Université McGill, il a bouleversé la société civile, créant une nouvelle situation politique dans laquelle plusieurs choses ne sont plus claires :
. L'État est-il la propriété des citoyens ? Ou bien les citoyens, avec leurs associations personnelles chères, y compris le mariage, sont-ils désormais la propriété de l'État ?
. Qui "possède" les enfants, maintenant que la parenté naturelle a été remplacée par la parenté légale ?
. La famille est-elle toujours "l'élément naturel et fondamental de la société", comme l'affirme la Déclaration universelle des droits de l'homme ? Ou bien le concept de "naturel" est-il moribond ?
. À quoi sert le mariage, de toute façon ?
Douglas Farrow est professeur agrégé de pensée chrétienne à l'université McGill de Montréal. Il est l'éditeur de Recognizing Religion in a Secular Society et co-éditeur, avec Daniel Cere, de Divorcing Marriage.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)