Note :
Le livre a reçu des critiques mitigées, avec des éloges pour sa rédaction sur le rôle de la 4e brigade parachutiste dans la bataille, mais des critiques notables pour des erreurs significatives et le manque de profondeur de certaines sections. Si certains lecteurs ont apprécié sa nature informative et son récit bien écrit, d'autres l'ont trouvé décevant en raison d'inexactitudes et d'annexes trop longues.
Avantages:⬤ Récit bien écrit de la participation de la 4e brigade parachutiste à la bataille
⬤ bonne qualité du contenu
⬤ perspicace pour ceux qui s'intéressent à la Seconde Guerre mondiale
⬤ certains lecteurs l'ont trouvé utile pour comprendre le contexte historique.
⬤ Nombreuses erreurs factuelles concernant les unités et le personnel
⬤ manque perçu d'érudition rigoureuse
⬤ certaines sections considérées comme inutiles ou non pertinentes
⬤ décevant par rapport aux ouvrages précédents du même auteur.
(basé sur 6 avis de lecteurs)
Steel Wall at Arnhem: The Destruction of 4 Parachute Brigade, 19 September 1944
Le déploiement de la 1ère division aéroportée britannique quelque part en Europe avant la fin de la guerre était en effet un cas de « pièces de monnaie brûlant des trous dans les poches du SHAEF ».
Le haut commandement allié était impatient d'engager dans la bataille une division qui, bien que contenant quelques unités d'élite, n'était pas complètement entraînée, n'avait effectué qu'un seul exercice divisionnaire et comptait plusieurs officiers inaptes ou inadaptés au commandement aéroporté. Le lundi 18 septembre 1944, les avions et les planeurs transportant les hommes et le matériel de la 4 Parachute Brigade décollent des aérodromes du sud de l'Angleterre.
Pour la première fois depuis sa création en Afrique du Nord, la brigade part au combat en tant que formation unifiée, bien qu'elle ne soit pas entièrement entraînée et qu'elle soit loin d'être expérimentée. En l'espace de 24 heures, la brigade cessera d'exister, n'ayant rien accompli d'autre que la mort d'hommes bons sans raison valable. Malgré les belles paroles de Winston Churchill affirmant que l'opération n'avait pas été « vaine » et que Montgomery avait « réussi à 90 % », il y a plus de logique à trouver dans les mots du poète de la Grande Guerre Wilfred Owen lorsqu'il écrit dans son poème Dulce et decorum est pro patria mori.
Certains commandants étaient en effet « avides d'une gloire désespérée ». Il s'agit d'un compte rendu complet de la brigade et de ses actions à Arnhem.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)