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spare change
Dans son premier recueil de poésie, spare change, Irene Cooper s'adresse aux morts et aux vivants par le biais de sonnets latéraux et de formes fragmentées. C'est un livre, dit TC Tolbert, "...
qui porte en son centre les multiplicités du chagrin ("permission de parler/à la blessure ouverte" d'un frère décédé, d'une famille fracturée par l'alcoolisme, les abus de pouvoir, même l'émerveillement routinier d'élever des enfants) à l'intérieur d'un langage qui refuse la sentimentalité et qui est, au contraire, expérientiel". Dans un monde où l'honnêteté est surprenante (et au sens figuré, et parfois au sens propre, défiant la mort), voici un écrivain qui insiste sur la vérité, exigeant que nous soyons attentifs aux tournures, aux bords, aux dérapages possibles de chaque mot. C'est un travail qui en vaut la peine.
Il faut se réjouir de cette audace. Lorsque je lis ces poèmes, j'ai l'impression d'être en présence de la présence ("to believe/to loiter") - ce qui revient à dire la boue de la chose : l'amour.
Boyer Rickel ajoute : "Intrépides dans leur désir d'arriver à des vérités difficiles, ces poèmes sont vivifiants, généreux et beaux. Vous ne les oublierez pas.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)