Note :
Le livre présente un mélange d'horreur gothique et de thriller psychologique, se concentrant sur la protagoniste Jacy et ses expériences dans une cabane isolée après une relation amoureuse éclair. Alors que certains lecteurs ont trouvé que c'était une histoire captivante et poétiquement écrite avec une fin forte, d'autres ont critiqué le développement des personnages, le rythme, et une conclusion décevante.
Avantages:⬤ Un style d'écriture engageant rempli de métaphores visuelles
⬤ des éléments thématiques forts
⬤ des rebondissements surprenants
⬤ une profondeur émotionnelle riche
⬤ un cadre unique
⬤ beaucoup l'ont trouvé magnifiquement conçu et captivant.
⬤ Des problèmes de rythme, décrits comme une combustion lente trop lente pour certains
⬤ une fin abrupte et insatisfaisante
⬤ des personnages jugés irréalistes ou mal développés
⬤ des avis partagés sur l'efficacité globale de la narration et de l'écriture.
(basé sur 147 avis de lecteurs)
Beware the Woman
Un des meilleurs livres de l'année selon NPR.
« Beware the Woman est une Rebecca mariée à The Handmaid's Tale... avec les rebondissements psychologiques fiévreux qui font la renommée des romans d'Abbott. « Maureen Corrigan, NPR.
Chérie, je veux juste que tu aies tout ce que tu as toujours voulu. C'est ce que la mère de Jacy lui a toujours dit. Et finalement, c'est ce qu'a fait Jacy. Nouvellement mariés et avec un bébé en route, Jacy et son mari, Jed, entreprennent leur premier voyage ensemble pour rendre visite à son père, le Dr Ash, dans la lointaine péninsule supérieure du Michigan. Dès leur arrivée au cottage blotti dans les bois, Jacy se sent baignée d'amour par l'hospitalier Dr Ash, mais moins par son intendante, l'énigmatique Mme Brandt.
Mais leurs premiers jours édéniques prennent un tournant lorsque Jacy a un problème de santé. Rapidement, les activités sont supprimées et tous les regards se tournent vers l'état de santé de Jacy. Soudain, des chuchotements sur la mère de Jed, morte depuis longtemps, et sur l'histoire compliquée de la famille semblent étrangement empiéter sur le présent, et Jacy commence à se sentir piégée dans le cottage, ses moindres gestes surveillés, son corps sous le miroir. Mais ses craintes sont-elles fondées ou s'agit-il simplement de paranoïa, de fièvre du chalet ou, comme on le lui suggère, d'un refus obstiné de prendre les précautions nécessaires ? Les bois denses qui entourent le chalet sont pleins de dangers, mais si les plus grands ne se glissaient pas à l'intérieur ?
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)