Note :
Le livre fournit un compte rendu détaillé et divertissant de la vie à Buenos Aires dans les années 1990 à travers les expériences de la journaliste anglaise Miranda France. Il équilibre l'humour et les observations perspicaces avec des critiques sur des questions sociétales, capturant l'essence de Buenos Aires et de ses habitants, connus sous le nom de Porteños. Bien que loué pour son style d'écriture et sa profondeur, il a également été critiqué pour sa condescendance et ses incohérences narratives. Certains lecteurs y ont vu une validation de leurs propres expériences, tandis que d'autres ont estimé que le portrait était trop négatif.
Avantages:⬤ Bien écrit, avec de l'humour et des observations perspicaces sur la culture argentine
⬤ capture les complexités de la vie à Buenos Aires
⬤ valide pour certains lecteurs
⬤ fournit un bon mélange d'anecdotes personnelles et de contexte historique
⬤ engage les lecteurs avec des histoires et des personnages racontables
⬤ offre une fenêtre sur les défis sociétaux auxquels l'Argentine est confrontée.
⬤ Les critiques notent un ton condescendant et une supériorité perçue dans la perspective de l'auteur
⬤ certaines parties sont considérées comme trop négatives ou manquant d'équilibre
⬤ des problèmes de grammaire et de ponctuation ont nui à l'expérience de lecture pour certains
⬤ l'organisation et le rythme de la narration n'étaient pas cohérents dans certains chapitres.
(basé sur 25 avis de lecteurs)
Bad Times In Buenos Aires
En 1993, Miranda France s'est installée en Amérique du Sud, attirée par Buenos Aires, centre intellectuel du continent, riche en écrivains et à l'histoire romantique, passionnée et tragique. Elle s'est aperçue que c'était tout cela, mais que c'était aussi un endroit où il faisait très mauvais vivre.
Les habitants de Buenos Aires sont réputés pour être malheureux. Dans toute l'Amérique du Sud, ils sont connus pour leur arrogance, leur fixation sur l'Europe et leur humeur changeante.
Très vite, Miranda France fait la connaissance de la « bronca », cette rage bouillonnante et difficilement contrôlable qui fait partie intégrante de la vie dans la capitale argentine. Elle découvre que la « bronca » a des racines profondes : la violence et le racisme des premiers colons européens, les dictatures, en particulier dans les années 1970 où tant de personnes ont disparu, et même Evita Peron, car il n'y avait pas de rage comparable à celle d'Evita.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)