Note :
My Life with Things, d'Elizabeth Chin, explore la culture de la consommation sous un angle humoristique et réflexif. Il s'agit d'une auto-ethnographie qui invite les lecteurs à examiner leurs propres relations avec les biens matériels tout en s'engageant dans des concepts historiques et culturels, notamment l'idée de Marx sur le fétichisme de la marchandise. Le livre mêle harmonieusement anecdotes personnelles et critiques sociétales plus larges, ce qui le rend à la fois accessible et stimulant.
Avantages:Le livre est décrit comme étant drôle, poignant et stimulant, avec un esprit brillant et plein d'autodérision. Il utilise des histoires personnelles pour établir un lien avec les lecteurs et susciter une réflexion sur la culture de consommation. Le style d'écriture permet une lecture décontractée, tout en s'appuyant sur des considérations intellectuelles et éthiques sérieuses. Il offre de nouvelles perspectives et de nouveaux points de vue sur notre attachement aux objets matériels.
Inconvénients:Certains concepts, comme le fétichisme de la marchandise, peuvent ne pas être clairement formulés pour tous les lecteurs. Le mélange de récits personnels et de discussions philosophiques plus profondes peut ne pas plaire à ceux qui recherchent un récit direct.
(basé sur 2 avis de lecteurs)
My Life with Things: The Consumer Diaries
Non conventionnel et provocateur, My Life with Things est une méditation d'Elizabeth Chin sur sa relation avec les biens de consommation et une déclaration critique sur la politique et la méthode de l'anthropologie.
Chin centre son livre sur les entrées de son journal intime qui se concentrent sur des objets de tous les jours - des boutons d'armoire de cuisine, des chaussures, un piano - et les utilise pour examiner intimement les façons dont la consommation résonne avec une signification personnelle et sociale : en écrivant des haïkus d'amour sur son vernis à ongles préféré et en discutant des implications raciales de son bonnet de dents, en révélant comment elle a utilisé le shopping pour faire face à une fausse couche et en contemplant comment sa jeune fille en est venue à penser qu'elle avait besoin de Lunesta. Tout au long de l'ouvrage, Mme Chin garde à l'esprit la relation de Karl Marx et de sa famille avec leurs biens, établissant des parallèles entre les serviettes de Marx, la production de linge de table de la fin du XIXe siècle et la propre collection de linge de maison de Mme Chin.
Avec une honnêteté déconcertante et rafraîchissante, Mme Chin dévoile les complexités de son attachement, de sa dépendance et de ses relations compliquées avec ses objets. Ce faisant, elle incite les lecteurs à reconsidérer leur propre consommation, ainsi que leurs hypothèses sur les possibilités d'une recherche créative.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)